Paroles de la chanson The Hills (Traduction) par Léonard Cohen
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Paroles de la chanson The Hills (Traduction) par Léonard Cohen
Je ne peux plus grimper les collines
Mon organisme est détruit
Je vis de comprimés
Pour lesquels je remercie Dieu
Mon animal crie
Mon ange est contrarié
Mais il ne m'est pas permis
Une once de regret
Car quelqu'un utilisera
Cette chose que je ne pourrai plus être
Mon cœur lui appartiendra
De manière impersonnelle
Elle marchera sur le chemin
Mon organisme est détruit
Je vis de comprimés
Pour lesquels je remercie Dieu
Mon animal crie
Mon ange est contrarié
Mais il ne m'est pas permis
Une once de regret
Car quelqu'un utilisera
Cette chose que je ne pourrai plus être
Mon cœur lui appartiendra
De manière impersonnelle
Elle marchera sur le chemin
Elle verra ce que je veux dire
Ma volonté coupée en deux
Et, entre, la liberté
Pour cela, en une seconde
Nos vie se rentreront dedans
L'éternité suspendue
La porte ouverte en grand
Et elle naîtra
Pour quelqu'un comme toi
Ce que j'ai laissé inachevé
Certainement elle le fera
Je sais qu'elle arrive
Et je sais qu'elle regardera
Tel est mon désir
Et c'est le refrain
Ma volonté coupée en deux
Et, entre, la liberté
Pour cela, en une seconde
Nos vie se rentreront dedans
L'éternité suspendue
La porte ouverte en grand
Et elle naîtra
Pour quelqu'un comme toi
Ce que j'ai laissé inachevé
Certainement elle le fera
Je sais qu'elle arrive
Et je sais qu'elle regardera
Tel est mon désir
Et c'est le refrain
Je ne peux plus grimper les collines
Mon organisme est détruit
Je vis de comprimés
Pour lesquels je remercie Dieu
Ma page était trop blanche
Mon encre, trop réduite
Le jour n'écrivait pas
Mais la nuit notait au crayon
Mais je sais qu'elle arrive
Et je sais qu'elle regardera
Tel est mon désir
Et c'est le refrain
Je sais qu'elle arrive
Et je sais qu'elle regardera
Tel est mon désir
Et c'est le refrain
Je ne peux plus grimper les collines
Mon organisme est détruit
Je vis de comprimés
Pour lesquels je remercie Dieu
Tel un cygne, j'ai navigué
À pic j'ai coulé
Mais le temps est depuis longtemps passé
De tous j'ai été la risée
Je ne peux plus grimper les collines
Mon organisme est détruit
Je vis de comprimés
Pour lesquels je remercie Dieu
Et c'est le refrain
Je ne peux plus grimper les collines
Mon organisme est détruit
Je vis de comprimés
Pour lesquels je remercie Dieu
Tel un cygne, j'ai navigué
À pic j'ai coulé
Mais le temps est depuis longtemps passé
De tous j'ai été la risée
Je ne peux plus grimper les collines
Mon organisme est détruit
Je vis de comprimés
Pour lesquels je remercie Dieu
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