Paroles de la chanson Des A-Pics Des Fadaises par Louis Ville
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Paroles de la chanson Des A-Pics Des Fadaises par Louis Ville
Bien des ans ont passé,
on s’demande c’qu’on a fait,
de cette eau qui coulait
sans même refléter
Ces montagnes franchies,
ces déserts sans eau,
Ces mers où l’on nageait
sans jamais de repos.
Souvent on se perdait,
nous sommes nous retournés
pour voir si l’autre peinait,
ou simplement riait.
Bien des rides ont creusé
des sillons des vallées,
des ombres disgracieuses,
qu’avons nous érigés
on s’demande c’qu’on a fait,
de cette eau qui coulait
sans même refléter
Ces montagnes franchies,
ces déserts sans eau,
Ces mers où l’on nageait
sans jamais de repos.
Souvent on se perdait,
nous sommes nous retournés
pour voir si l’autre peinait,
ou simplement riait.
Bien des rides ont creusé
des sillons des vallées,
des ombres disgracieuses,
qu’avons nous érigés
de nos mains de la glaise,
qu’avons nous façonnés,
des à-pics des fadaises
pas pour l’éternité.
J’ n’en ai plus souvenirs
que de vagues sourires,
que d’ambiances lointaines
et j’en oublie ma peine.
Et si nous fûmes victimes,
Victimes de nos vies
Regarde-moi l’ami,
Regarde bien mes yeux
Brillent-ils autant qu’avant
Avant que tu t’en ailles
Peu importe le vent
On m’a parlé de toi
qu’avons nous façonnés,
des à-pics des fadaises
pas pour l’éternité.
J’ n’en ai plus souvenirs
que de vagues sourires,
que d’ambiances lointaines
et j’en oublie ma peine.
Et si nous fûmes victimes,
Victimes de nos vies
Regarde-moi l’ami,
Regarde bien mes yeux
Brillent-ils autant qu’avant
Avant que tu t’en ailles
Peu importe le vent
On m’a parlé de toi
quelques fois, quelques fois.
T’a-t-on dit si j’allais
à qui ça sert tout ça,
te voila devant moi
et je ne sais que dire,
je n’ose plus respirer,
je n’ose même plus bouger.
Et je suis désarmé
et toi tu ne l’es pas,
je t’ai toujours aimé,
tu as tout oublié.
Et si nous fûmes victime,
Victimes de nos vies
Regarde-moi l’ami,
Regarde bien mes yeux
Brillent-ils autant qu’avant
Avant que tu t’en ailles
T’a-t-on dit si j’allais
à qui ça sert tout ça,
te voila devant moi
et je ne sais que dire,
je n’ose plus respirer,
je n’ose même plus bouger.
Et je suis désarmé
et toi tu ne l’es pas,
je t’ai toujours aimé,
tu as tout oublié.
Et si nous fûmes victime,
Victimes de nos vies
Regarde-moi l’ami,
Regarde bien mes yeux
Brillent-ils autant qu’avant
Avant que tu t’en ailles
Peu importe le vent
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