Paroles de la chanson Coleopteres par Lo Bailly
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Paroles de la chanson Coleopteres par Lo Bailly
Bref,
Tout commence une nuit
Dans l'ouest américain
Un délinquant de trois fois rien
Se dit, en regardant un arbre,
Que sa vie c'est d'la merde
Et qu'il doit arroser ses graines
Avec autre chose que la javel
Qu'il trouve dans les étables
Il a bien cru toute sa vie
À l'ivresse prospère
Mais n'a pas suivi ses compagnons
Partis aux affaires
Pour quelques puits
Aux environs de la mer Caspienne
Tout commence une nuit
Dans l'ouest américain
Un délinquant de trois fois rien
Se dit, en regardant un arbre,
Que sa vie c'est d'la merde
Et qu'il doit arroser ses graines
Avec autre chose que la javel
Qu'il trouve dans les étables
Il a bien cru toute sa vie
À l'ivresse prospère
Mais n'a pas suivi ses compagnons
Partis aux affaires
Pour quelques puits
Aux environs de la mer Caspienne
Tombé sous le charme
D'une déesse amérindienne
Puis j'me ressaisis,
En train de fumer ma clope
En attendant mon tram
Parfois je regarde le vide
Parfois j'suis plus vraiment là
Sous une fine pluie automnale
D'humeur maussade
J'tiens mon café du bout des doigts rongés
Parce qu'en fait, putain j'ai la dalle
J'pourrais descendre
Jusqu'au centre ville
Pour grailler une frite
Mais j'en trouve aucune meilleure qu'à Stockel
Les pubs maquillent leur jeu
D'une déesse amérindienne
Puis j'me ressaisis,
En train de fumer ma clope
En attendant mon tram
Parfois je regarde le vide
Parfois j'suis plus vraiment là
Sous une fine pluie automnale
D'humeur maussade
J'tiens mon café du bout des doigts rongés
Parce qu'en fait, putain j'ai la dalle
J'pourrais descendre
Jusqu'au centre ville
Pour grailler une frite
Mais j'en trouve aucune meilleure qu'à Stockel
Les pubs maquillent leur jeu
Femme rime avec mes aisselles
À croire Axe,
Elles m'attendraient toutes par centaines
Dans le journal,
Ça parle de débâcle économique
Et de regain écologique
Ou bien j'confonds
Et c'est l'contraire ?
Vu comme ça va,
Il faudra bientôt se munir
D'élytres protégeant nos ailes
Comme des coléoptères
Tu sais Léa,
Tous les aléas
Les malaises
À croire Axe,
Elles m'attendraient toutes par centaines
Dans le journal,
Ça parle de débâcle économique
Et de regain écologique
Ou bien j'confonds
Et c'est l'contraire ?
Vu comme ça va,
Il faudra bientôt se munir
D'élytres protégeant nos ailes
Comme des coléoptères
Tu sais Léa,
Tous les aléas
Les malaises
Et les années à
Se gâcher l'âme
Se cacher là
Se fâcher calme
Mains blessées
Bras lésés
Toi l'air blasé
Puis rester lasse
À te regarder
À te bâcler
Soufflant devant la glace
Tu sais Léa,
Moi je m'en fais pas
Non je m’en fais plus
Regarde les cramer en désordre
Et se navrer en désastre
Ils veulent plonger dans les astres
Se gâcher l'âme
Se cacher là
Se fâcher calme
Mains blessées
Bras lésés
Toi l'air blasé
Puis rester lasse
À te regarder
À te bâcler
Soufflant devant la glace
Tu sais Léa,
Moi je m'en fais pas
Non je m’en fais plus
Regarde les cramer en désordre
Et se navrer en désastre
Ils veulent plonger dans les astres
Mais ne savent se mettre d'accord
Et au plus ils seront hardcores
Au plus on en fera des stars
Vu comme ça va,
Il faudra bientôt se munir
D'élytres protégeant nos ailes
Comme des coléoptères
C'est bien d'en rire
Mais faut quand même faire gaffe
Aux gens malhonnêtes
Ou bien pas nets
Tu sais y'en a,
C'est des vicieux
Laissez moi c'est bon
Je crois bien comprendre
Que la Chine veut racheter l'Afrique
Et au plus ils seront hardcores
Au plus on en fera des stars
Vu comme ça va,
Il faudra bientôt se munir
D'élytres protégeant nos ailes
Comme des coléoptères
C'est bien d'en rire
Mais faut quand même faire gaffe
Aux gens malhonnêtes
Ou bien pas nets
Tu sais y'en a,
C'est des vicieux
Laissez moi c'est bon
Je crois bien comprendre
Que la Chine veut racheter l'Afrique
Le peuple va-t-il en bénéficier ?
Vu comme ça va,
Il faudra bientôt se munir
D'élytres protégeant nos ailes
Comme des coléoptères
Vu comme ça va,
Il faudra bientôt se munir
D'élytres protégeant nos ailes
Comme des coléoptères
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