Paroles de la chanson Les Sirenes Feat Jok'air par Lili Poe
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Paroles de la chanson Les Sirenes Feat Jok'air par Lili Poe
Y’a ton odeur sur mes draps
Des traces de griffures sur mes bras
Quand je ferme les yeux j’ai cette image de toi pausé sur moi
Me regardant d’un regard froid, tranchant comme un katana
Me disant d’une voix suave
Emmène-moi vers les nuages
Très peu d’mots sortent de nos bouches
On gaspille pas nos cartouches
J’me sens renaître à chaque fois qu’ta langue se promène sur mon cou
J’ai des frissons quand tu m’touches
Quand j’me r’trouve entre tes mains douces
Le futur j’en ai rien a foutre
Il est fragile comme notre amour
Des traces de griffures sur mes bras
Quand je ferme les yeux j’ai cette image de toi pausé sur moi
Me regardant d’un regard froid, tranchant comme un katana
Me disant d’une voix suave
Emmène-moi vers les nuages
Très peu d’mots sortent de nos bouches
On gaspille pas nos cartouches
J’me sens renaître à chaque fois qu’ta langue se promène sur mon cou
J’ai des frissons quand tu m’touches
Quand j’me r’trouve entre tes mains douces
Le futur j’en ai rien a foutre
Il est fragile comme notre amour
Oh hé (x3)
Entends-tu, entends-tu, les sirènes, les sirènes
Comme un appel, que rien ne frêne
Ohoh
Entends-tu, entends-tu, les sirènes, comme des reines
L’éveil, la colère, souveraine
Ohoh
J’voudrais qu’on marche dans la lumière
Qu’on n’assure plus nos arrières
Qu’on s’trouve un bout d’océan
Pour poser nos coeurs insulaires
J’voudrais qu’on s’aime à la Gainsbourg
Qu’on s’réveille au petit jour
Mais on s’aime à la Gainsbarre on s’réveille dans la nuit noire
J’voudrais qu’on reste planqué lové de septembre à juillet
Entends-tu, entends-tu, les sirènes, les sirènes
Comme un appel, que rien ne frêne
Ohoh
Entends-tu, entends-tu, les sirènes, comme des reines
L’éveil, la colère, souveraine
Ohoh
J’voudrais qu’on marche dans la lumière
Qu’on n’assure plus nos arrières
Qu’on s’trouve un bout d’océan
Pour poser nos coeurs insulaires
J’voudrais qu’on s’aime à la Gainsbourg
Qu’on s’réveille au petit jour
Mais on s’aime à la Gainsbarre on s’réveille dans la nuit noire
J’voudrais qu’on reste planqué lové de septembre à juillet
J’voudrais tout rembobiner juste avant qu’elle s’mette à sonner
Sonner –er, sonner-er
Oh hé, oh hé, oh hé, oh hé
Entends-tu, entends-tu, les sirènes, les sirènes
Comme un appel, que rien ne frêne
Ohoh
Entends-tu, entends-tu, les sirènes, comme des reines
L’éveil, la colère, souveraine
Ohoh
Entends-tu les sirènes
Toi vois-tu les signes
A travers ta silhouette
Mon avenir se dessine
Entends-tu les sirènes
Toi vois-tu les signes
Sonner –er, sonner-er
Oh hé, oh hé, oh hé, oh hé
Entends-tu, entends-tu, les sirènes, les sirènes
Comme un appel, que rien ne frêne
Ohoh
Entends-tu, entends-tu, les sirènes, comme des reines
L’éveil, la colère, souveraine
Ohoh
Entends-tu les sirènes
Toi vois-tu les signes
A travers ta silhouette
Mon avenir se dessine
Entends-tu les sirènes
Toi vois-tu les signes
A travers ta silhouette
Mon avenir se dessine
Entends-tu les sirènes
Toi vois-tu les signes
A travers ta silhouette
Mon avenir se dessine
Entends-tu les sirènes
Toi vois-tu les signes
A travers ta silhouette
Mon avenir se dessine
Entends-tu, entends-tu
Les sirènes, les sirènes
Comme un appel, que rien ne freine
Ohoh
Entends-tu, entends-tu
Les sirènes, comme des reines
L’éveil, la colère, souveraine
Mon avenir se dessine
Entends-tu les sirènes
Toi vois-tu les signes
A travers ta silhouette
Mon avenir se dessine
Entends-tu les sirènes
Toi vois-tu les signes
A travers ta silhouette
Mon avenir se dessine
Entends-tu, entends-tu
Les sirènes, les sirènes
Comme un appel, que rien ne freine
Ohoh
Entends-tu, entends-tu
Les sirènes, comme des reines
L’éveil, la colère, souveraine
Ohoh
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