Paroles de la chanson Le Ruban par Le Devoir's Band
Auteurs: Georges Tortel
Compositeurs: Daniel Wawszczyk
Editeurs: Editions W48-Music
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Paroles de la chanson Le Ruban par Le Devoir's Band
(1)
J’avais une couleur que vous m’aviez donnée,
Au temps lointain, joyeux, de mes jeunes années,
Ce double de ma peau de teinte rouge sang,
Où est-il aujourd’hui ce beau ruban absent ?
Refrain :
Couleur, couleur, de ma jeunesse,
Couleur, couleur, couleur tendresse,
Couleur, couleur, de ma jeunesse,
Ruban, ruban, tristesse.
(2)
Je me souviens encor de l’instant solennel,
J’avais une couleur que vous m’aviez donnée,
Au temps lointain, joyeux, de mes jeunes années,
Ce double de ma peau de teinte rouge sang,
Où est-il aujourd’hui ce beau ruban absent ?
Refrain :
Couleur, couleur, de ma jeunesse,
Couleur, couleur, couleur tendresse,
Couleur, couleur, de ma jeunesse,
Ruban, ruban, tristesse.
(2)
Je me souviens encor de l’instant solennel,
Où l’ancien m’a souri me drapant fraternel,
D’un ruban de velours au blason du métier,
Je me suis senti grand rempli d’humilité.
Refrain :
(3)
Textile sans valeur et si peu de mystères,
Indicible présent reconnu par mes frères,
Me voilà malheureux pour ce bout de tissu,
Aux symboles gravés simple étoffe reçue.
Refrain:
(4)
Un quidam l’a volé mais que va t-il en faire ?
D’un ruban de velours au blason du métier,
Je me suis senti grand rempli d’humilité.
Refrain :
(3)
Textile sans valeur et si peu de mystères,
Indicible présent reconnu par mes frères,
Me voilà malheureux pour ce bout de tissu,
Aux symboles gravés simple étoffe reçue.
Refrain:
(4)
Un quidam l’a volé mais que va t-il en faire ?
Le vendre au brocanteur sans doute une misère,
Je me sens orphelin tourmenté dans ma chair,
Jamais je n’aurais cru qu’il me fut aussi cher.
Refrain :
(5)
Si par hasard l’ami tu deviens amoureux,
Toi qui va l’acheter veille sur lui heureux,
Les emblèmes frappés te diront l’ouvrier,
Et l’honnête chemin d’un homme de métier.
Refrain :
Je me sens orphelin tourmenté dans ma chair,
Jamais je n’aurais cru qu’il me fut aussi cher.
Refrain :
(5)
Si par hasard l’ami tu deviens amoureux,
Toi qui va l’acheter veille sur lui heureux,
Les emblèmes frappés te diront l’ouvrier,
Et l’honnête chemin d’un homme de métier.
Refrain :
(6)
Solitaire exposé dans une vitrine,
Alors qu’il aurait dû s’user sur ma poitrine,
J’ignore maintenant quel est son devenir,
Posé sur mon linceul je le voyais finir.
Refrain : (bis)
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