Paroles de la chanson Destins Croises par la Fanfare du Belgistan
Auteurs: Néry Catineau
Compositeurs: Emmanuel Loriaux,Thomas Manoury,Jeremie Mosseray,David H Picard,Manuel Eric Martin Roland
Editeurs: Team For Action,Roy Music Publishing
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Paroles de la chanson Destins Croises par la Fanfare du Belgistan
A la dérive, aux lois des foules, au coeur d'une ville qui se balance et traîne. Entre deux rives, en pierres qui roulent, flux et reflux, exil, asile se tiennent. Destins croisés.
A la dérive, au gré des houles, en plein exil, les distances s’enchaînent.
Entre deux rives, un monde s’écroule, flux et refus de marées inhumaines. Destins croisés.
Valises posées aux pieds d’un quai… mallette usée trop de paquets.
Caffè latte, gaufres assassines… envie d’un thé et de tartines.
Bruxelles Midi, une habitude… en gare d’ici l’attente est rude.
Laisser flirter quelques émois… shit ! J’ai troué mes nouveaux bas !…
A la dérive, au gré des houles, en plein exil, les distances s’enchaînent.
Entre deux rives, un monde s’écroule, flux et refus de marées inhumaines. Destins croisés.
Valises posées aux pieds d’un quai… mallette usée trop de paquets.
Caffè latte, gaufres assassines… envie d’un thé et de tartines.
Bruxelles Midi, une habitude… en gare d’ici l’attente est rude.
Laisser flirter quelques émois… shit ! J’ai troué mes nouveaux bas !…
A la dérive, le temps s’écoule, de notre exil, nous sommes roi et reine.
Entre deux rives, nos corps s’enroulent, flux et refus nos
impatiences s’égrainent.
Destins croisés.
Mais tu fais quoi dans mes pensées femme écureuil et fille de l’aigle ?
Ouvre tes bras on va danser, je t’ai à l’oeil, je suis espiègle.
Je suis à toi et moi là-bas… nos bagages en correspondance.
Ça n’se fait pas d’laisser comme ça tous nos voyages sans surveillance !
A la dérive, aux lois des foules, au coeur d'une ville qui se balance et peine.
Entre deux rives, nos corps s’enroulent, flux et refus nos
impatiences s’égrainent.
Destins croisés.
Mais tu fais quoi dans mes pensées femme écureuil et fille de l’aigle ?
Ouvre tes bras on va danser, je t’ai à l’oeil, je suis espiègle.
Je suis à toi et moi là-bas… nos bagages en correspondance.
Ça n’se fait pas d’laisser comme ça tous nos voyages sans surveillance !
A la dérive, aux lois des foules, au coeur d'une ville qui se balance et peine.
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