Paroles de la chanson Par les temps qui viennent par Diane Tell
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Paroles de la chanson Par les temps qui viennent par Diane Tell
Avec les temps qui nous viennent
Faudrait que tout l’monde se tienne
Simplement
Le même sang dans les veines
Ça devrait faire un peu comme une chaîne
Dans les tours de cent étages
L’amour est en cage
Depuis l’école y’a tous ces mots qui nous isolent
Pour exister dans la foule
Parfois tu te saoules en solitaire
Tu fais des rêves en manque d’air
Avec les temps qui nous viennent
Faudrait que tout l’monde se tienne
Faudrait que tout l’monde se tienne
Simplement
Le même sang dans les veines
Ça devrait faire un peu comme une chaîne
Dans les tours de cent étages
L’amour est en cage
Depuis l’école y’a tous ces mots qui nous isolent
Pour exister dans la foule
Parfois tu te saoules en solitaire
Tu fais des rêves en manque d’air
Avec les temps qui nous viennent
Faudrait que tout l’monde se tienne
Simplement
Faudrait pas que l’on devienne
Comme une armée de machines inhumaines
Sur l’écran sur le clavier
Chacun son métier
Ça devient dur de s’parler
Dans notre futur
Et le casque sur la tête
Musique à tue-tête
Quand les nouvelles nous font peur
Moi je voudrais vivre avec vous
Avec les singes, avec les fous
Et sentir et choisir d’embellir l’avenir
Avec les temps qui nous viennent
Faudrait que tout l’monde se tienne
Faudrait pas que l’on devienne
Comme une armée de machines inhumaines
Sur l’écran sur le clavier
Chacun son métier
Ça devient dur de s’parler
Dans notre futur
Et le casque sur la tête
Musique à tue-tête
Quand les nouvelles nous font peur
Moi je voudrais vivre avec vous
Avec les singes, avec les fous
Et sentir et choisir d’embellir l’avenir
Avec les temps qui nous viennent
Faudrait que tout l’monde se tienne
Le même sang dans les veines
Ça d’vrait faire comme une chaîne
Faudrait pas que l’on devienne
Comme une armée de machines inhumaines
Avec les temps qui nous viennent
Faudrait que tout l’monde se tienne
Simplement
Ça d’vrait faire comme une chaîne
Faudrait pas que l’on devienne
Comme une armée de machines inhumaines
Avec les temps qui nous viennent
Faudrait que tout l’monde se tienne
Simplement
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