Paroles de la chanson La bure par Art Mengo
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Paroles de la chanson La bure par Art Mengo
Malgré sous sa coiffe écornée
Ses cheveux trop tôt sacrifiés
Cette angélique ces vérités
De son sourire trop tôt figé
Elle donnait forme à mes désirs
Elle était femme dans mes plaisirs
Malgré ses mains qu'on devinait
Usés par des devoirs secrets
Malgré son teint trop tôt fané
Poli comme un vieux chapelet
Elle donnait forme à mes désirs
Elle était femme dans mes plaisirs
Malgré le bruit de ??? Froissé
Cette odeur de cierge brûlé
Ses cheveux trop tôt sacrifiés
Cette angélique ces vérités
De son sourire trop tôt figé
Elle donnait forme à mes désirs
Elle était femme dans mes plaisirs
Malgré ses mains qu'on devinait
Usés par des devoirs secrets
Malgré son teint trop tôt fané
Poli comme un vieux chapelet
Elle donnait forme à mes désirs
Elle était femme dans mes plaisirs
Malgré le bruit de ??? Froissé
Cette odeur de cierge brûlé
Les pénitences qu'on devinait
Encore au matin sur ses traits
Elle donnait forme à mes désirs
Elle était femme dans mes plaisirs
Elle m'enseigna plus d'un savoir
Le vrai le faux sans le vouloir
Encore au matin sur ses traits
Elle donnait forme à mes désirs
Elle était femme dans mes plaisirs
Elle m'enseigna plus d'un savoir
Le vrai le faux sans le vouloir
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