Paroles de la chanson La Déprime par Agnès Bihl
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Paroles de la chanson La Déprime par Agnès Bihl
Ça vient comme un lundi matin
A pas de loup
C’est un peu flou, c’est presque rien
Pourtant ça vous laisse à genoux
C’est le soleil qui fout le camps
Juste le vide, le néant
Juste la vie qui se périme
La déprime
C’est regarder le temps qui passe
Et puis des merdes à la télé
Quand il faut trainer sa carcasse
Avant d’aller se recoucher
Même la pluie tombe de haut
Ce n’est pas rien d’être de trop
Le cœur en panne avec en prime
A pas de loup
C’est un peu flou, c’est presque rien
Pourtant ça vous laisse à genoux
C’est le soleil qui fout le camps
Juste le vide, le néant
Juste la vie qui se périme
La déprime
C’est regarder le temps qui passe
Et puis des merdes à la télé
Quand il faut trainer sa carcasse
Avant d’aller se recoucher
Même la pluie tombe de haut
Ce n’est pas rien d’être de trop
Le cœur en panne avec en prime
La déprime
C’est pas vraiment la fin du monde
On s’habitue
Mais ça vous prend du bout de l’ongle
Et puis ça ne vous lâche plus
C’est un cœur trop lourd à porter
C’est tout le reste à supporter
Mais ce n’est jamais de la frime
La déprime
C’est juste le grand méchant rien
Juste une écharde dans le cœur
On est tous un jour orphelin
Quand on se noie de l’intérieur
On a beau se mettre des claques
Il n’y a jamais de miracle
Alors un jour on se résigne
C’est pas vraiment la fin du monde
On s’habitue
Mais ça vous prend du bout de l’ongle
Et puis ça ne vous lâche plus
C’est un cœur trop lourd à porter
C’est tout le reste à supporter
Mais ce n’est jamais de la frime
La déprime
C’est juste le grand méchant rien
Juste une écharde dans le cœur
On est tous un jour orphelin
Quand on se noie de l’intérieur
On a beau se mettre des claques
Il n’y a jamais de miracle
Alors un jour on se résigne
La déprime
C’est tout simplement quand la vie
N’a plus tout à fait le même goût
C’est tout simplement qu’aujourd’hui
Ce qui rend fou…c’est qu’on s’en fout
Mais après tout quelle importance ?
Au pays de l’indifférence
Elle fait des millions d’anonymes
La déprime
C’est s’enfermer dans le silence
A double tour
Et chaque jour à contresens
On cherche une sortie de secours
Alors bien sûr on baisse les bras
Quand on n’a plus le mode d’emploi
La vie ne vaut plus un centime
C’est tout simplement quand la vie
N’a plus tout à fait le même goût
C’est tout simplement qu’aujourd’hui
Ce qui rend fou…c’est qu’on s’en fout
Mais après tout quelle importance ?
Au pays de l’indifférence
Elle fait des millions d’anonymes
La déprime
C’est s’enfermer dans le silence
A double tour
Et chaque jour à contresens
On cherche une sortie de secours
Alors bien sûr on baisse les bras
Quand on n’a plus le mode d’emploi
La vie ne vaut plus un centime
La déprime
C’est tous les jours le dimanche soir
Et tous les soirs le même gâchis
Il est toujours un peu trop tard
Il fait toujours un peu trop nuit
Mais le pire, c’est qu’on s’en balance
Il faut se rendre à l’évidence
Après tout ce n’est pas un crime
La déprime
Ca vient comme un lundi matin
A pas de loup
C’est un peu flou, c’est presque rien
Mais ça vous met KO debout
Combien de temps faut-il tenir
Avant de peut être se dire
Que c’était juste un mauvais film
C’est tous les jours le dimanche soir
Et tous les soirs le même gâchis
Il est toujours un peu trop tard
Il fait toujours un peu trop nuit
Mais le pire, c’est qu’on s’en balance
Il faut se rendre à l’évidence
Après tout ce n’est pas un crime
La déprime
Ca vient comme un lundi matin
A pas de loup
C’est un peu flou, c’est presque rien
Mais ça vous met KO debout
Combien de temps faut-il tenir
Avant de peut être se dire
Que c’était juste un mauvais film
La déprime
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