Paroles de la chanson Anxiété par Zélie
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Paroles de la chanson Anxiété par Zélie
C'est dur de croire que tu m'aimeras toujours
Si, si ça dure et qu'un beau soir là tu découvres
Qui je suis quand mon anxiété m'appelle
Ah bien sûr que j'lui réponds
Parce que souvent il n'y a qu'elle
T'es pris de peur dès qu'tu vois qu'j'ai le cœur lourd
Moi j'ai prié, j'me suis tue durant des heures sourdes
Faut qu'tu voies le monstre à l'intérieur
Celui qui s'fout d'moi, me crie des horreurs
Et moi j'crois ces horreurs
(Et moi j'crois ces horreurs, et moi j'crois ces horreurs)
(Et moi j'crois ces horreurs, et moi j'crois ces horreurs)
Si, si ça dure et qu'un beau soir là tu découvres
Qui je suis quand mon anxiété m'appelle
Ah bien sûr que j'lui réponds
Parce que souvent il n'y a qu'elle
T'es pris de peur dès qu'tu vois qu'j'ai le cœur lourd
Moi j'ai prié, j'me suis tue durant des heures sourdes
Faut qu'tu voies le monstre à l'intérieur
Celui qui s'fout d'moi, me crie des horreurs
Et moi j'crois ces horreurs
(Et moi j'crois ces horreurs, et moi j'crois ces horreurs)
(Et moi j'crois ces horreurs, et moi j'crois ces horreurs)
La main sur le ventre depuis, depuis ma naissance
Et les matins dans l'attente, genre, ça va passer, mais quand ?
Si y'avait personne pour répondre après l'automne
Si toi tu m'abandonnes, si tout l'monde m'abandonne
La main sur le ventre depuis, depuis ma naissance
Et les matins dans l'attente, genre ça va passer, mais quand ?
Si y'avait personne pour répondre après l'automne
Si toi tu m'abandonnes, si tout l'monde m'abandonne
Je n'connais que ces griffes qui viennent se coller à mon ventre
Suffit qu'tu me dises « ce soir je n'sais pas si je rentre... »
Mon Dieu qu'ça paraît rien, pourtant mon cerveau déconne
Me donne les codes d'une partie d'lui qui m'rend conne
Ah, qu'est-ce que je m'en veux d'avoir ce vice détestable
Pour ça que j'm'accroche aux bras d'un autre (Autre, autre)
Mais quel cercle sans fin
Car une fois qu'j'ai trouvé l'amour, je n'pense bien sûr qu'à la fin (Qu'à la fin, qu'à la fin, qu'à la fin)
(Moi j'pense à la fin)
La main sur le ventre depuis, depuis ma naissance
Et les matins dans l'attente, genre, ça va passer, mais quand ?
Mon Dieu qu'ça paraît rien, pourtant mon cerveau déconne
Me donne les codes d'une partie d'lui qui m'rend conne
Ah, qu'est-ce que je m'en veux d'avoir ce vice détestable
Pour ça que j'm'accroche aux bras d'un autre (Autre, autre)
Mais quel cercle sans fin
Car une fois qu'j'ai trouvé l'amour, je n'pense bien sûr qu'à la fin (Qu'à la fin, qu'à la fin, qu'à la fin)
(Moi j'pense à la fin)
La main sur le ventre depuis, depuis ma naissance
Et les matins dans l'attente, genre, ça va passer, mais quand ?
Si y'avait personne pour répondre après l'automne
Si toi tu m'abandonnes, si tout l'monde m'abandonne
La main sur le ventre depuis, depuis ma naissance
Et les matins dans l'attente, genre ça va passer, mais quand ?
Si y'avait personne pour répondre après l'automne
Si toi tu m'abandonnes, si tout l'monde m'abandonne
La main sur le ventre depuis (Oh)
Les matins dans l'attente, genre (Oh)
Si y'avait personne (Oh)
Si toi tu m'abandonnes, si tout l'monde m'abandonne
Si toi tu m'abandonnes, si tout l'monde m'abandonne
La main sur le ventre depuis, depuis ma naissance
Et les matins dans l'attente, genre ça va passer, mais quand ?
Si y'avait personne pour répondre après l'automne
Si toi tu m'abandonnes, si tout l'monde m'abandonne
La main sur le ventre depuis (Oh)
Les matins dans l'attente, genre (Oh)
Si y'avait personne (Oh)
Si toi tu m'abandonnes, si tout l'monde m'abandonne
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