Paroles de la chanson Les Maisons Blanches par Colette Renard
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Paroles de la chanson Les Maisons Blanches par Colette Renard
"Donnez-moi, s'il vous plaît, un sac tout plein d'amour
Et j'irai le porter jusqu'au bout du monde" a dit un petit garçon
"Donnez-moi... donnez-moi, s'il vous plaît, un sac tout plein d'étoiles
Et j'irai le porter jusqu'au paradis" a dit une petite fille
Et chacun d'eux va son chemin, les petites mains serrées sur un grand sac vide
Dans des palais de verre
Dans des palais d'acier
On parle de la guerre
On parle de la paix
Et j'irai le porter jusqu'au bout du monde" a dit un petit garçon
"Donnez-moi... donnez-moi, s'il vous plaît, un sac tout plein d'étoiles
Et j'irai le porter jusqu'au paradis" a dit une petite fille
Et chacun d'eux va son chemin, les petites mains serrées sur un grand sac vide
Dans des palais de verre
Dans des palais d'acier
On parle de la guerre
On parle de la paix
Que la Terre est fragile
Derrière ces barreaux
Que les mots sont habiles
Ce ne sont que des mots
Et partout dans le monde
On attend, on attend
Que la blanche colombe
Annonce le printemps
Et dans les maisons blanches
On attend, on attend
Et les têtes se penchent
Sur des rêves d'enfants
Dans des palais de verre
Dans des palais d'acier
On fait trembler les verres
On fait trembler la paix
Derrière ces barreaux
Que les mots sont habiles
Ce ne sont que des mots
Et partout dans le monde
On attend, on attend
Que la blanche colombe
Annonce le printemps
Et dans les maisons blanches
On attend, on attend
Et les têtes se penchent
Sur des rêves d'enfants
Dans des palais de verre
Dans des palais d'acier
On fait trembler les verres
On fait trembler la paix
On dresse des frontières
On noircit des tableaux
Et tout tombe en poussière
Pour une goutte d'eau
Et partout dans le monde
On attend, on attend
Que la blanche colombe
Annonce le printemps
Et dans les maisons blanches
On attend, on attend
Et les têtes se penchent
Sur des rêves d'enfants
Dans des palais de verre
Dans des palais d'acier
On parle de la Terre
Comme d'un grand brasier
On oublie la rivière
On oublie l'olivier
Et la simple prière
À l'ombre d'un figuier
Et partout dans le monde
On attend, on attend
Que la blanche colombe
Annonce le printemps
Et dans les maisons blanches
On attend, on attend
Et les têtes se penchent
Sur des rêves d'enfants
On oublie la rivière
On oublie l'olivier
Et la simple prière
À l'ombre d'un figuier
Et partout dans le monde
On attend, on attend
Que la blanche colombe
Annonce le printemps
Et dans les maisons blanches
On attend, on attend
Et les têtes se penchent
Sur des rêves d'enfants
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