Paroles de la chanson Nos silences Remix par Akhenaton
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Paroles de la chanson Nos silences Remix par Akhenaton
Ils vouent adoration à Éole
Dans nos couplets souffle la révolte
Faudra un jour inverser les rôles
Nos silences valent 1000 de leurs paroles
Ils vouent adoration à Eole
Dans nos couplets souffle la révolte
Faudra un jour inverser les rôles
Nos silences valent 1000 de leurs paroles
Et les moutons boivent leurs paroles
Ouais, leurs paroles
Les moutons boivent leurs paroles
C'est ça leurs paroles
J'étais môme avec des rêves pour passer le temps
Dans nos couplets souffle la révolte
Faudra un jour inverser les rôles
Nos silences valent 1000 de leurs paroles
Ils vouent adoration à Eole
Dans nos couplets souffle la révolte
Faudra un jour inverser les rôles
Nos silences valent 1000 de leurs paroles
Et les moutons boivent leurs paroles
Ouais, leurs paroles
Les moutons boivent leurs paroles
C'est ça leurs paroles
J'étais môme avec des rêves pour passer le temps
À la cantine je ne poussais pas pour passer devant
La chance m'a laissé qu'un HB pour tracer le plan
Dans ce milieu où t'es qu'un homme si tu pettes des dents
Fils, mamie te le dira, petit, j'étais un ange
Escaladais partout, fou j'accrochais les branches
Qui aurait pu dire qu'un jour je foulerai les planches
Et que l'ange finirait un chrome à la hanche
Au quartier ce n'est pas du mytho de rappeur
Du pipo de gratteur, seul protégeais ma gueule
Ce qui nous pendait au nez, c'était le gnouf ou la fleur
Sur la gâchette, ce n'est pas le courage qui appuie c'est la peur
La chance m'a laissé qu'un HB pour tracer le plan
Dans ce milieu où t'es qu'un homme si tu pettes des dents
Fils, mamie te le dira, petit, j'étais un ange
Escaladais partout, fou j'accrochais les branches
Qui aurait pu dire qu'un jour je foulerai les planches
Et que l'ange finirait un chrome à la hanche
Au quartier ce n'est pas du mytho de rappeur
Du pipo de gratteur, seul protégeais ma gueule
Ce qui nous pendait au nez, c'était le gnouf ou la fleur
Sur la gâchette, ce n'est pas le courage qui appuie c'est la peur
Quand tu souris beaucoup essaie de t'enfoncer ensuite
La gentillesse en ville c'est défiler en slip
Excuse ma chérie, je ne veux pas changer en type aigri
Qui s'irrite et finit la santé en kit
J'ai tout appris là où les murs sont bâtis en brique
Certains avec moi puis d'autres sont partis au Brink's
Mes souvenirs s'éparpillent au gré des années
J'ai grandi malgré moi dans le club des damnés
Je n'en tire pas de fierté, donc pas de détails
Tu trouves mon blaze sur aucun des cotés des pailles
Et ceux persuadés que je suis un cave raté
Ils feraient plus attention s'ils savaient la moitié
J'ai plus d'amour pour les miens que peut enserrer mon cœur
Je donne jusqu'à ce que Dieu ait sonné mon heure
Je sais que la Force et faiblesse viennent droit de ma tête
Dur, je vois plus d'enterrements que de baptêmes
Sais-tu combien ces doigts ont craqué de canettes
Trop bête, combien ces paumes mélangées de barrettes
Pousser les portes des cours, défoncé, en fumette
Ils feraient plus attention s'ils savaient la moitié
J'ai plus d'amour pour les miens que peut enserrer mon cœur
Je donne jusqu'à ce que Dieu ait sonné mon heure
Je sais que la Force et faiblesse viennent droit de ma tête
Dur, je vois plus d'enterrements que de baptêmes
Sais-tu combien ces doigts ont craqué de canettes
Trop bête, combien ces paumes mélangées de barrettes
Pousser les portes des cours, défoncé, en fumette
C'est ma jeunesse qui a brulé comme une simple allumette
Les blaireaux gobent tout, marchent à la baguette
J'ai plus confiance en mon chien qu'au tiers de la planète
La pression change des vaillants en tontons
Désabusés par la vie, ça finit en zonzon
Du coup je marche seulement accompagné de mon ombre
Je fais des titres pour la gloire flanquée de mon nom
Le cuir endurci, maintenant je sens pousser les crocs
J'ai tellement les dents serrées, je prononce plus les mots
Les blaireaux gobent tout, marchent à la baguette
J'ai plus confiance en mon chien qu'au tiers de la planète
La pression change des vaillants en tontons
Désabusés par la vie, ça finit en zonzon
Du coup je marche seulement accompagné de mon ombre
Je fais des titres pour la gloire flanquée de mon nom
Le cuir endurci, maintenant je sens pousser les crocs
J'ai tellement les dents serrées, je prononce plus les mots
J'en ai même plus en store, et dire je les hais
Devient un must, quand l'encre vient décrire mes plaies
Laissez-moi tirer ma révérence
Face à l'océan de haine voici le silence
Ils vouent adoration à Éole
Dans nos couplets souffle la révolte
Faudra un jour inverser les rôles
Nos silences valent 1000 de leurs paroles
Ils vouent adoration à Éole
Dans nos couplets souffle la révolte
Faudra un jour inverser les rôles
Nos silences valent 1000 de leurs paroles
Et les moutons boivent leurs paroles
Ouais, leurs paroles
Les moutons boivent leurs paroles
C'est ça leurs paroles
1000 de leurs paroles, nos silences les valent bien
Ils croient qu'on bave sur les grilles de leur carrosse
Leurs mots ne comptent pour rien, tout s'efface
Et devant 1000 de leurs paroles, nos silences les valent bien
Ils croient qu'on bave sur les grilles de leur carrosse
Leurs mots ne comptent pour rien, tout s'efface
Et devant 1000 de leurs paroles, nos silences les valent bien
Les moutons boivent leurs paroles
C'est ça leurs paroles
1000 de leurs paroles, nos silences les valent bien
Ils croient qu'on bave sur les grilles de leur carrosse
Leurs mots ne comptent pour rien, tout s'efface
Et devant 1000 de leurs paroles, nos silences les valent bien
Ils croient qu'on bave sur les grilles de leur carrosse
Leurs mots ne comptent pour rien, tout s'efface
Et devant 1000 de leurs paroles, nos silences les valent bien
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