Paroles de la chanson The Promised Land (Traduction) par Bruce Springsteen
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Paroles de la chanson The Promised Land (Traduction) par Bruce Springsteen
Dans le désert de l'Utah, il y a une voie rapide qui serpente
Je ramasse mon fric et m'en retourne vers la ville
En franchissant la frontière du comté de Waynesboro
J'écoute la radio et je ne fais que tuer le temps
En travaillant toute la sainte journée, au garage de mon père
En roulant toute la nuit, à la recherche d'un mirage
Très bientôt, ma petite, je prendrai les choses en main
Dans la grand'rue, les clébards aboient, car ils sont lucides
Je ramasse mon fric et m'en retourne vers la ville
En franchissant la frontière du comté de Waynesboro
J'écoute la radio et je ne fais que tuer le temps
En travaillant toute la sainte journée, au garage de mon père
En roulant toute la nuit, à la recherche d'un mirage
Très bientôt, ma petite, je prendrai les choses en main
Dans la grand'rue, les clébards aboient, car ils sont lucides
Si mes mains pouvaient recueillir un instant
Non, Monsieur, je ne suis plus un gosse, je suis un homme
Et je crois à la terre promise
J’ai fait tout mon possible pour vivre dans le droit chemin
Je me lève tous les matins et je vais au travail tous les jours
Mais tu es aveuglé, ton sang se glace dans tes veines
Parfois je me sens si faible que je voudrais bien exploser
Exploser et ravager cette ville toute entière
Me saisir d’un couteau, et percer mon cœur où siège cette douleur
Trouver quelqu’un en attente d’un nouveau départ
Non, Monsieur, je ne suis plus un gosse, je suis un homme
Et je crois à la terre promise
J’ai fait tout mon possible pour vivre dans le droit chemin
Je me lève tous les matins et je vais au travail tous les jours
Mais tu es aveuglé, ton sang se glace dans tes veines
Parfois je me sens si faible que je voudrais bien exploser
Exploser et ravager cette ville toute entière
Me saisir d’un couteau, et percer mon cœur où siège cette douleur
Trouver quelqu’un en attente d’un nouveau départ
De lourds nuages se dessinent dans la poussière du désert
Mes bagages sont faits, je me dirige vers l’œil du cyclone
Vais devenir une tornade, emportant sur mon passage
Tout ce qui n’a pas la force de résister
Balayant les rêves qui te rongent de l’intérieur
Balayant les mensonges qui t’induisent en erreur et te brisent le cœur
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