Paroles de la chanson In These Walls (Traduction) par MGK (Machine Gun Kelly)
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Paroles de la chanson In These Walls (Traduction) par MGK (Machine Gun Kelly)
Je te sens entre ces murs
Tu es un air froid qui s’insinue
Tu me donnes des frissons dans les os et sur la peau
Je t’ai entendu dans le couloir
Mais il est vide quand j’y jette un coup d’œil
Oh, qui t’a laissée entrer ?
Tu circules comme si tu possédais l’endroit
Mais tu ne dis jamais mot
Je t’ai surprise, passant directement à travers mes murs
Je suppose que tout était ma faute
Je crois que je te t’ai laissée entrer
Écoute, tu as dit que je n’avais jamais écrit de chanson pour toi
Tu es un air froid qui s’insinue
Tu me donnes des frissons dans les os et sur la peau
Je t’ai entendu dans le couloir
Mais il est vide quand j’y jette un coup d’œil
Oh, qui t’a laissée entrer ?
Tu circules comme si tu possédais l’endroit
Mais tu ne dis jamais mot
Je t’ai surprise, passant directement à travers mes murs
Je suppose que tout était ma faute
Je crois que je te t’ai laissée entrer
Écoute, tu as dit que je n’avais jamais écrit de chanson pour toi
J’espère donc que celle-ci te hantera
Tu as dit que même si ça prenait une éternité
On serait ensemble, toi et moi
Et je n’ai jamais pensé que tu mentirais
Alors, je reconnais que j’ai profité de ton temps précieux
Même à la maison, je ne te faisais pas de bien
Je veux bien l’admettre, mais ne crois pas une minute que je vais te laisser
Me convaincre que ce qu’on a commencé est terminé
Ou un seul instant que je ne prendrais pas une balle en pleine tête pour toi
Je peindrais le fond de mon plancher en rouge pour toi qu’un ange a embrassée
Que le diable a touchée, le sang coulant d’un nez rouge comme une pétale de rose
Tu as dit que même si ça prenait une éternité
On serait ensemble, toi et moi
Et je n’ai jamais pensé que tu mentirais
Alors, je reconnais que j’ai profité de ton temps précieux
Même à la maison, je ne te faisais pas de bien
Je veux bien l’admettre, mais ne crois pas une minute que je vais te laisser
Me convaincre que ce qu’on a commencé est terminé
Ou un seul instant que je ne prendrais pas une balle en pleine tête pour toi
Je peindrais le fond de mon plancher en rouge pour toi qu’un ange a embrassée
Que le diable a touchée, le sang coulant d’un nez rouge comme une pétale de rose
Je crois qu’on est pris dans un délire mégalo
Elle est ma Kate Moss ; je suis son Johnny Depp
La vie à toute allure. La vie à cent à l’heure
Les lumières dans le taxi. Les nuits à boire du champagne
De la glace pour qu’il dure. De la glace pour le mal de dos
Le couteau sur le tableau de bord, la pipe avec le cendrier
Lumières éteintes, on fait l’amour ; on casse un abat-jour
On l’a fait deux fois dans la chambre ; une fois au cinéma, oh
Tu caches toutes tes fraîches blessures comme un sparadrap
Avec des rayures sur les costumes noirs pour la campagne, oh
Elle est ma Kate Moss ; je suis son Johnny Depp
La vie à toute allure. La vie à cent à l’heure
Les lumières dans le taxi. Les nuits à boire du champagne
De la glace pour qu’il dure. De la glace pour le mal de dos
Le couteau sur le tableau de bord, la pipe avec le cendrier
Lumières éteintes, on fait l’amour ; on casse un abat-jour
On l’a fait deux fois dans la chambre ; une fois au cinéma, oh
Tu caches toutes tes fraîches blessures comme un sparadrap
Avec des rayures sur les costumes noirs pour la campagne, oh
Mais quelle honte
Roi de la pègre, quel nom maudit
Car il a tué toutes les autres filles dans ce maudit cadre
Pour une reine dont il ne s’est jamais rendu compte qu’elle avait des crocs
Bon sang, ressens-tu ce que je raconte, ce que je dis ?
Je prends un couteau dans le dos, je veux sentir ma douleur
Je m’entaille le poignet pour révéler mes veines
J’ai pu voir ton visage, mec, je me sens
Je n’ai jamais pensé que je me sentirais comme ça
Je suis tellement en vrac en ta présence
J’en ai assez, je crois que tu m’as rendu malade
Roi de la pègre, quel nom maudit
Car il a tué toutes les autres filles dans ce maudit cadre
Pour une reine dont il ne s’est jamais rendu compte qu’elle avait des crocs
Bon sang, ressens-tu ce que je raconte, ce que je dis ?
Je prends un couteau dans le dos, je veux sentir ma douleur
Je m’entaille le poignet pour révéler mes veines
J’ai pu voir ton visage, mec, je me sens
Je n’ai jamais pensé que je me sentirais comme ça
Je suis tellement en vrac en ta présence
J’en ai assez, je crois que tu m’as rendu malade
Je dois te chasser de mon organisme, oui
Ici, c’est chez moi
Il est temps de partir, je crois
C’est mon âme
Elle n’est plus à toi
Ici, c’est chez moi
Il est temps de partir, je crois
Oui, il est temps de partir, je crois
Yeah, yeah, whoa-whoa-whoa
(Oui, il est temps de partir, je crois)
Ici, c’est chez moi
Il est temps de partir, je crois
C’est mon âme
Elle n’est plus à toi
Ici, c’est chez moi
Il est temps de partir, je crois
Oui, il est temps de partir, je crois
Yeah, yeah, whoa-whoa-whoa
(Oui, il est temps de partir, je crois)
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