Paroles de la chanson L'Alcazar par Feu Chatterton
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Paroles de la chanson L'Alcazar par Feu Chatterton
Mon amour, au petit jour
Il faudra partir
Ma très chère, tu préfères
L'ombre à la lumière
On a toute la nuit pour s'aimer
La nuit pour se perdre
Toute la nuit pour se plaire
Nous touchons les cîmes
Nous touchons les cîmes
Puis tu t'enfuis
J'ai tout au bord des dents
Le souvenir obsédant
Et le goût des mots, des tiennes
Qu'ils soient plein de venin
Ouais mais s'il t'appartient
Il faudra partir
Ma très chère, tu préfères
L'ombre à la lumière
On a toute la nuit pour s'aimer
La nuit pour se perdre
Toute la nuit pour se plaire
Nous touchons les cîmes
Nous touchons les cîmes
Puis tu t'enfuis
J'ai tout au bord des dents
Le souvenir obsédant
Et le goût des mots, des tiennes
Qu'ils soient plein de venin
Ouais mais s'il t'appartient
Mon cœur, que tes mains détiennent
Je sais (Je sais) l'arbre vicié
Donnant de gros et jolis fruits
Dans les jardins de l'Alcazar
Le bien, le mal
Comment savoir
Je sais (Je sais) l'arbre vicié
Donnant de gros et jolis fruit
Dans les jardins de l'Alcazar
Le bien, le mal
Comment savoir
Comment savoir
Mon amour, au petit jour
Il faudra partir
Tu préfères, ma très chère
L'ombre à la lumière
Je sais (Je sais) l'arbre vicié
Donnant de gros et jolis fruits
Dans les jardins de l'Alcazar
Le bien, le mal
Comment savoir
Je sais (Je sais) l'arbre vicié
Donnant de gros et jolis fruit
Dans les jardins de l'Alcazar
Le bien, le mal
Comment savoir
Comment savoir
Mon amour, au petit jour
Il faudra partir
Tu préfères, ma très chère
L'ombre à la lumière
Tu es à mille lieues de chez toi
Si loin de chez toi
Tu t'abandonnes à la nuit
Guidée par une étoile
Guidée par une étoile
Tu n'es plus là
J'ai tout au bord des dents
Le souvenir obsédant
Et le goût des mots, des tiennes
Qu'ils soient plein de venin
Ouais mais s'il t'appartient
Mon cœur, que tes mains détiennent
Je ne sens plus rien, que le lourd parfum
De l'ambre et cours dans mes veines
Un feu mercurien, qui ne prendra fin
Qu'avec mes joies et mes peines
Si loin de chez toi
Tu t'abandonnes à la nuit
Guidée par une étoile
Guidée par une étoile
Tu n'es plus là
J'ai tout au bord des dents
Le souvenir obsédant
Et le goût des mots, des tiennes
Qu'ils soient plein de venin
Ouais mais s'il t'appartient
Mon cœur, que tes mains détiennent
Je ne sens plus rien, que le lourd parfum
De l'ambre et cours dans mes veines
Un feu mercurien, qui ne prendra fin
Qu'avec mes joies et mes peines
Je sais (Je sais) l'arbre vicié
Donnant de gros et jolis fruits
Dans les jardins de l'Alcazar
Le bien, le mal
Comment savoir
Je sais (Je sais) l'arbre vicié
Donnant de gros et jolis fruit
Dans les jardins de l'Alcazar
Le bien, le mal
Comment savoir
Comment
(Je sais)
Comment savoir
Comment
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