Paroles de la chanson J'ouvre Les Yeux par Dominique A
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Paroles de la chanson J'ouvre Les Yeux par Dominique A
J'ai fait l'enfant
Et l'enfant me regarde
Et j'aimerais n'avoir
Comme lui jamais fermé les yeux
J'ai fait l'enfant
Ses yeux terribles et fiables
Me jaugent et me devinent
Et je me vois comme dans ses yeux
J'ai connu le temps où
Le jour n'était plus le jour
Où la joie, le chagrin
N'étaient plus la joie, le chagrin
J'ai connu le temps où
Et l'enfant me regarde
Et j'aimerais n'avoir
Comme lui jamais fermé les yeux
J'ai fait l'enfant
Ses yeux terribles et fiables
Me jaugent et me devinent
Et je me vois comme dans ses yeux
J'ai connu le temps où
Le jour n'était plus le jour
Où la joie, le chagrin
N'étaient plus la joie, le chagrin
J'ai connu le temps où
Les mots n'étaient plus des mots
Où ils sortaient de moi
Comme de n'importe qui autour
Mais depuis, vraiment
J'ouvre les yeux
Depuis, vraiment
J'ouvre les yeux
J'en voulais aux arbres
J'en voulais aux étoiles
Aux livres, à la musique
À toutes les choses que j'aimais
J'en voulais à l'amour
Pour ses choses que j'aimais
Qui me retenaient là
Où ils sortaient de moi
Comme de n'importe qui autour
Mais depuis, vraiment
J'ouvre les yeux
Depuis, vraiment
J'ouvre les yeux
J'en voulais aux arbres
J'en voulais aux étoiles
Aux livres, à la musique
À toutes les choses que j'aimais
J'en voulais à l'amour
Pour ses choses que j'aimais
Qui me retenaient là
Puisque les gens, non
Puis est venue une femme
Et je lui en ai voulu
Puis est venu l'enfant
Et j'en ai voulu à l'enfant
À ses yeux terribles et fiables
Son regard qui m'obligeait
À voir
Par delà les rives et les arbres
Depuis, vraiment
J'ouvre les yeux
Depuis, vraiment, enfin
J'ouvre les yeux
Puis est venue une femme
Et je lui en ai voulu
Puis est venu l'enfant
Et j'en ai voulu à l'enfant
À ses yeux terribles et fiables
Son regard qui m'obligeait
À voir
Par delà les rives et les arbres
Depuis, vraiment
J'ouvre les yeux
Depuis, vraiment, enfin
J'ouvre les yeux
Et ce que je vois
M'effraie
Ce que je vois
Me glace
Mais mes mains bougent
Et ma bouche parle
Et mes mots portent même
Un peu
Ils portent
Malgré moi
Malgré le manteau gris que j'ai
Ils portent
Et je ne peux plus faire comme si, non
Non je ne peux plus faire comme si, non
M'effraie
Ce que je vois
Me glace
Mais mes mains bougent
Et ma bouche parle
Et mes mots portent même
Un peu
Ils portent
Malgré moi
Malgré le manteau gris que j'ai
Ils portent
Et je ne peux plus faire comme si, non
Non je ne peux plus faire comme si, non
Maintenant que l'enfant me voit
Me regarde
Ses tendres yeux de marbre
Posés sur moi
Alors, vraiment
J'ouvre les yeux
Alors, vraiment
J'ouvre les yeux
Me regarde
Ses tendres yeux de marbre
Posés sur moi
Alors, vraiment
J'ouvre les yeux
Alors, vraiment
J'ouvre les yeux
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