Paroles de la chanson Seul par Voyou
Paroles de la chanson Seul par Voyou
Y a des jours où tout m'irrite
Où je ne veux plus parler
Où les gens vont bien trop vite
Pour attendre mes idées
J'ai les humeurs en panique
Des envies de tout casser
Pas la peine de me dicter
Quoi m'en faire et quoi penser
Je m'isole
Loin du sol, là-haut dans une montagne
Y a faire des vagues loin de vos marées
Comme l'eau toujours mouvante d'un ruisseau
Qui court et court et qui
En faisant fait bouger ses pierres au seuil
Laissez-moi seul ce soir, rien qu'un instant
Où je ne veux plus parler
Où les gens vont bien trop vite
Pour attendre mes idées
J'ai les humeurs en panique
Des envies de tout casser
Pas la peine de me dicter
Quoi m'en faire et quoi penser
Je m'isole
Loin du sol, là-haut dans une montagne
Y a faire des vagues loin de vos marées
Comme l'eau toujours mouvante d'un ruisseau
Qui court et court et qui
En faisant fait bouger ses pierres au seuil
Laissez-moi seul ce soir, rien qu'un instant
Et je prendrai le temps de compter mes défauts
Pour leur endroit, ça bouillonne
J'ai la soupape qui déconne
J'ai les humeurs changeantes
La gorge en pente et les jambes en coton
Ma répartie m'abandonne, perdu les phrases qui pardonnent
Mais je ne vous en veux pas, j'ai compris ce qui n'allait pas chez moi
Y a des jours où tout m'inquiète
Quand j'entends le genre d'idées
Qu'on enfonce dans la tête
Des gens mal illuminés
Y a des choses qu'on accepte
Tant qu'elles sont pas sous le nez
Ça me fait des maux de tête
Et des envies d'exploser
Pour leur endroit, ça bouillonne
J'ai la soupape qui déconne
J'ai les humeurs changeantes
La gorge en pente et les jambes en coton
Ma répartie m'abandonne, perdu les phrases qui pardonnent
Mais je ne vous en veux pas, j'ai compris ce qui n'allait pas chez moi
Y a des jours où tout m'inquiète
Quand j'entends le genre d'idées
Qu'on enfonce dans la tête
Des gens mal illuminés
Y a des choses qu'on accepte
Tant qu'elles sont pas sous le nez
Ça me fait des maux de tête
Et des envies d'exploser
Qu'on m'isole
Loin du sol, là-haut dans une montagne
Je ferai mes vagues loin de leur marée
Comme l'eau toujours mouvante d'un ruisseau
Qui court et court et qui
En faisant, fait bouger ses pierres au seuil
Laissez-moi seul ce soir, rien qu'un instant
Et je prendrai le temps de compter mes défauts
Pour leur endroit, ça bouillonne
J'ai la soupape qui déconne
J'ai les humeurs changeantes
La gorge en pente et les jambes en coton
Ma répartie m'abandonne
Perdu les phrases qui pardonnent
Mais je ne vous en veux pas
J'ai compris ce qui n'allait pas chez moi
J'ai compris ce qui n'allait pas chez moi
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