Paroles de la chanson Ils Se Sont Plu par Richard Gotainer
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Paroles de la chanson Ils Se Sont Plu par Richard Gotainer
C'était un mercredi à la porte des lilas
Il passait par ici elle se baladait par là
Puis tout à coup glissa elle ça la fit rigoler
Alors il l'aborda et ils se mirent à papoter
Elle le trouvait pas beau il la jaugea très mimi
Plus tard il fit allo elle répondit allo oui
S'en suivirent des chandelles un dîner sur une terrasse
Des yeux pleins d'étincelles et des doigts qui s'entrelacent
Ils ne s'étaient jamais vu
Mais se sont reconnus
Et ça leur est tombé dessus
Ils se sont plu
Comme s'ils étaient plusieurs il firent l'amour comme pas un
Il passait par ici elle se baladait par là
Puis tout à coup glissa elle ça la fit rigoler
Alors il l'aborda et ils se mirent à papoter
Elle le trouvait pas beau il la jaugea très mimi
Plus tard il fit allo elle répondit allo oui
S'en suivirent des chandelles un dîner sur une terrasse
Des yeux pleins d'étincelles et des doigts qui s'entrelacent
Ils ne s'étaient jamais vu
Mais se sont reconnus
Et ça leur est tombé dessus
Ils se sont plu
Comme s'ils étaient plusieurs il firent l'amour comme pas un
Elle aima son odeur il adora son parfum
Ils s'embrassèrent beaucoup se reniflèrent en grognant
Se touchèrent tout partout et cela dura longtemps
Il disait je te hume pour éviter les grands mots
Pourquoi mettre une enclume dans un envol d'étourneaux
Les mots que l'on entend sont bien souvent plus jolis
En amour notamment tant qu'ils ne sont pas dit
Ils ne s'étaient jamais vu
Mais se sont reconnus
Et ça leur est tombé dessus
Ils se sont plu
Il traînassait au lit elle s'éveilla dans ses bras
Ils s'embrassèrent beaucoup se reniflèrent en grognant
Se touchèrent tout partout et cela dura longtemps
Il disait je te hume pour éviter les grands mots
Pourquoi mettre une enclume dans un envol d'étourneaux
Les mots que l'on entend sont bien souvent plus jolis
En amour notamment tant qu'ils ne sont pas dit
Ils ne s'étaient jamais vu
Mais se sont reconnus
Et ça leur est tombé dessus
Ils se sont plu
Il traînassait au lit elle s'éveilla dans ses bras
C'était un vendredi ça faisait dix ans déjà
Dix ans que chaque jours ils célébraient le matin
En se disant bonjour dans les moiteurs d'un câlin
Conséquence incendiaire d'un chuchotis de gros mots
Leur seul vocabulaire transformait drap en brulo
Si l'azur dans leur ciel devait durer toute la vie
Ce serait à cause d'elle ce serait sa faute à lui
Ce serait à cause d'elle ce serait sa faute à lui
Ils ne s'étaient jamais vu
Mais se sont reconnus
Dix ans que chaque jours ils célébraient le matin
En se disant bonjour dans les moiteurs d'un câlin
Conséquence incendiaire d'un chuchotis de gros mots
Leur seul vocabulaire transformait drap en brulo
Si l'azur dans leur ciel devait durer toute la vie
Ce serait à cause d'elle ce serait sa faute à lui
Ce serait à cause d'elle ce serait sa faute à lui
Ils ne s'étaient jamais vu
Mais se sont reconnus
Et ça leur est tombé dessus
Ils se sont plu
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