Paroles de la chanson Fin de couplet #6 par Nahir
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Paroles de la chanson Fin de couplet #6 par Nahir
Je suis bien loin de Miami, je ferai jamais ami-ami
Avec ces PD qui pensent qu’à mon bénef, que j’ai même pas encore acquis
La vie c’est une pute que je touche que la nuit
Mais quand je suis à jeun je peux plus me la blairer
Boulette sur mon pull, je tartine dans la ville
Toujours les mêmes zombies balafrés, je vais serrer
Coup de bite dans le froc, c’est comme ça qu’on les choque
Je sais que t’as rien dans le froc tête de con
Je fais les comptes avant que tu me parles dans l’oreille
Pour me dire qu’il manque un peu de sous, je m’en bats les couilles moi
Avec ces PD qui pensent qu’à mon bénef, que j’ai même pas encore acquis
La vie c’est une pute que je touche que la nuit
Mais quand je suis à jeun je peux plus me la blairer
Boulette sur mon pull, je tartine dans la ville
Toujours les mêmes zombies balafrés, je vais serrer
Coup de bite dans le froc, c’est comme ça qu’on les choque
Je sais que t’as rien dans le froc tête de con
Je fais les comptes avant que tu me parles dans l’oreille
Pour me dire qu’il manque un peu de sous, je m’en bats les couilles moi
Parce qu’on laisse pas de délais
À ceux qui roulent en loques avec des folasses toute l’année
Le poing et le visage bien serré
Pour qu’ils sachent que chez nous personne ne fera de la terrine
Heureusement que je suis sorti du cercle vicieux
À l’abri d’un haineux qui sortirait du sillon
Trop déter, il parait que je suis prometteur
Quand je rap tu prends des notes, on sait que c’est pour me copier
J’arrive habillé, donc je repars habillé deux fois plus vu qu’on les a tous déshabillés
À chaque bourbier, qui suce pour des billets
Tu fais tout pour esquiver ceux que t’as pas payé
Boss de ma génération enculé, je bosse sans avoir les armes appropriées
À ceux qui roulent en loques avec des folasses toute l’année
Le poing et le visage bien serré
Pour qu’ils sachent que chez nous personne ne fera de la terrine
Heureusement que je suis sorti du cercle vicieux
À l’abri d’un haineux qui sortirait du sillon
Trop déter, il parait que je suis prometteur
Quand je rap tu prends des notes, on sait que c’est pour me copier
J’arrive habillé, donc je repars habillé deux fois plus vu qu’on les a tous déshabillés
À chaque bourbier, qui suce pour des billets
Tu fais tout pour esquiver ceux que t’as pas payé
Boss de ma génération enculé, je bosse sans avoir les armes appropriées
Je les dore sans même calculer la moitié de ces fiottes
Tu nous verras jamais en billet
Trop de violence, les coupons ont déconseillé
Les pauvres, veulent à tout prix m’empêcher de prier
Je les fuck de la même manière que les ennemis
Et je pense tous les jours un peu plus que hier
Pas le temps de parler avec ceux qui m’ont ???
Qui parlent dans mon dos mais qui ont oublié
Que cette personne était mon pote, c’est là que ça capote
Et c’est ce pote qui vient te rhabiller
Pas besoin d’arriver sur la pointe des pieds, tu sais qu’on va vriller
Sans pour autant crier les traitres et les putes et les poucaves alignés
Que tout le monde sache qu’on attend que personne ne vienne
Tu nous verras jamais en billet
Trop de violence, les coupons ont déconseillé
Les pauvres, veulent à tout prix m’empêcher de prier
Je les fuck de la même manière que les ennemis
Et je pense tous les jours un peu plus que hier
Pas le temps de parler avec ceux qui m’ont ???
Qui parlent dans mon dos mais qui ont oublié
Que cette personne était mon pote, c’est là que ça capote
Et c’est ce pote qui vient te rhabiller
Pas besoin d’arriver sur la pointe des pieds, tu sais qu’on va vriller
Sans pour autant crier les traitres et les putes et les poucaves alignés
Que tout le monde sache qu’on attend que personne ne vienne
Aïe, fin de couplet
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