Paroles de la chanson Jesse par Merzhin
Chanson manquante pour "Merzhin" ? Proposer les paroles
Proposer une correction des paroles de "Jesse"
Proposer une correction des paroles de "Jesse"
Paroles de la chanson Jesse par Merzhin
Sous la clameur, les vivats
Je pénètre dans l’arène
Je lève les yeux vers le ciel
Étrangement rien n’a changé
Ni le bleu de son corps
Ni la pureté de son souffle
Je n’ai pas voulu être ici
Ça sent la mort, ça respire l’enfer
À ce moment, moi Jesse
Je deviens le bourreau des nazis
Au cri du juge, sous l’œil des nations, je relève la tête
C’est un couloir jonché de braises qui s’offre à mes yeux inertes
Une seule issue pour l’aigle noir, vole au sommet de la crête
Je pénètre dans l’arène
Je lève les yeux vers le ciel
Étrangement rien n’a changé
Ni le bleu de son corps
Ni la pureté de son souffle
Je n’ai pas voulu être ici
Ça sent la mort, ça respire l’enfer
À ce moment, moi Jesse
Je deviens le bourreau des nazis
Au cri du juge, sous l’œil des nations, je relève la tête
C’est un couloir jonché de braises qui s’offre à mes yeux inertes
Une seule issue pour l’aigle noir, vole au sommet de la crête
Un bout de gloire, des jeux, du pain, la récolte des miettes
Svastika, aux mains du pouvoir
Caligula, à chaque regard
Il faut que j’explose, il faut que j’ose
Les tailler en pièces, passer à la caisse
Si on pouvait un jour s’en souvenir
Si on devait un jour en mourir
Il n’aura pas fallu longtemps avant que je trouve
La voie déjà tracée, pavée de mon succès, je cours
Ma posture est sans faille, mon allure bestiale, sans aucun détour
Ma domination sans égale s’expose jour après jour
Svastika, aux mains du pouvoir
Caligula, à chaque regard
Il faut que j’explose, il faut que j’ose
Les tailler en pièces, passer à la caisse
Si on pouvait un jour s’en souvenir
Si on devait un jour en mourir
Il n’aura pas fallu longtemps avant que je trouve
La voie déjà tracée, pavée de mon succès, je cours
Ma posture est sans faille, mon allure bestiale, sans aucun détour
Ma domination sans égale s’expose jour après jour
Pas de soumission, ni de demi-tour
Sous l’oppression, je cours
36, Berlin, la course sans fin
Une vague de peur dans la meute de chiens
36, Berlin, une claque à l’aryen
Une gifle au Führer, sans même une poignée de main
Toi mon pays, éclaire-moi avant que ne tombe la nuit
Toi mon ami, sauve-toi le diable se terre ici
Svastika au sein du pouvoir
Caligula au moindre regard
Il faut que j’explose, il faut que j’ose
Il n’aura pas fallu longtemps avant que je trouve
Sous l’oppression, je cours
36, Berlin, la course sans fin
Une vague de peur dans la meute de chiens
36, Berlin, une claque à l’aryen
Une gifle au Führer, sans même une poignée de main
Toi mon pays, éclaire-moi avant que ne tombe la nuit
Toi mon ami, sauve-toi le diable se terre ici
Svastika au sein du pouvoir
Caligula au moindre regard
Il faut que j’explose, il faut que j’ose
Il n’aura pas fallu longtemps avant que je trouve
La voie déjà tracée, pavée de mon succès, je cours
Ma posture est sans faille, mon allure bestiale, sans aucun détour
Ma domination sans égale s’expose jour après jour
Pas de soumission, ni de demi-tour
Sous l’oppression, je cours, je cours
Ma posture est sans faille, mon allure bestiale, sans aucun détour
Ma domination sans égale s’expose jour après jour
Pas de soumission, ni de demi-tour
Sous l’oppression, je cours, je cours
Paroles.net dispose d’un accord de licence de paroles de chansons avec la Société des Editeurs et Auteurs de Musique (SEAM)
