Paroles de la chanson Le Grand Marchand par Louis Ville

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Paroles de la chanson Le Grand Marchand par Louis Ville

Sais-tu que ce volcan est une île
Et la mer qui l’enserre craint son feu, ses tourments
Sais-tu que les trous béants laissés par tes colères
Comme des blessures de guerre, se referment lentement
Sais-tu que ces orages ces tempêtes soudaines
Me laissent sur le rivage, haletant dans la peine …

Oh ! Bien sûr, je suis un bien piètre marin
Oh ! Bien sûr, parfois même assassin
Refusant de rebrousser chemin
Égoïste à en braver l’destin
Oui, je suis un grand marchand de riens
Charlatan, je ne sers plus à rien
Bonimenteur, vendeur de chagrins
Des tempêtes, j’en ai tant déclenchées
Je m’enlise dans le sable mouillé
Je m’échoue à tes pieds,
Je t’aime tu sais.

Sais-tu que ces belles lumières, c’est la fête foraine
Qui s’anime sous tes pas, s’abreuvant de tes rires
Et ces chevaux de bois tournent, tournent pour te plaire
Carrousel immobile quand tu n’regardes pas.
Sais-tu que ces lumières se nourrissent de ton feu.
Tu t’en vas en colère, elles s’éteignent peu à peu

Oh ! Bien sûr, je suis un bien piètre forain
Oh ! Bien sûr, parfois même assassin
Refusant l’enfant et tous ses rêves
Égoïste, insensible à ce feu.
Oui, je suis un grand marchand de riens
Charlatan, ne sers plus à rien
Bonimenteur, vendeur de chagrins
Des tempêtes, j’en ai tant déclenchées
Je m’enlise dans le sable mouillé
Je m’échoue à tes pieds,
Je t’aime tu sais.

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