Paroles de la chanson Fear (Traduction) par Lenny Kravitz
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Paroles de la chanson Fear (Traduction) par Lenny Kravitz
Je sens la peur qui s'abat sur
Les pensées d’enfant forcés à faire plaisir
Sur des rêves corrompus et des mers polluées
La lune s’absente et les arbres fondent
Une brise funeste, des nuages de souffrance
Un déchet toxique et une pluie acide
La fin de notre ignorance
Une vie entière passée dans l’abstinence
Je vis dans la peur, je vis dans la peur
Je ne peux pas vous mentir
Je vis dans la peur, je vis dans la peur
Formatés à la haine, c’est de leur faute
Leur quête de Dieu est toujours la même
Des machines à la place du cœur, une vision déformée
Les pensées d’enfant forcés à faire plaisir
Sur des rêves corrompus et des mers polluées
La lune s’absente et les arbres fondent
Une brise funeste, des nuages de souffrance
Un déchet toxique et une pluie acide
La fin de notre ignorance
Une vie entière passée dans l’abstinence
Je vis dans la peur, je vis dans la peur
Je ne peux pas vous mentir
Je vis dans la peur, je vis dans la peur
Formatés à la haine, c’est de leur faute
Leur quête de Dieu est toujours la même
Des machines à la place du cœur, une vision déformée
Ils en oublient qu’ils sont aussi humains
Attendant, telles des vaches à l’abattoir
Qui sera le premier à enfoncer son tison
Alors que chaque jour pourrait être le dernier
Tu pense qu’il nous faudrait apprendre de notre passé
Je sens la peur qui s'abat sur
Les pensées de tant de vies refusées
Plus de soldats blessés, un autre drapeau en flammes
Et rangées de sacs mortuaires
Pas le temps de pleurer, quand tombe la nuit glaciale
Ouais ouais ouais ouais
La journée les survivants regagnent leurs tanières
Comme les autres, ils sont envoyés chez eux
Attendant, telles des vaches à l’abattoir
Qui sera le premier à enfoncer son tison
Alors que chaque jour pourrait être le dernier
Tu pense qu’il nous faudrait apprendre de notre passé
Je sens la peur qui s'abat sur
Les pensées de tant de vies refusées
Plus de soldats blessés, un autre drapeau en flammes
Et rangées de sacs mortuaires
Pas le temps de pleurer, quand tombe la nuit glaciale
Ouais ouais ouais ouais
La journée les survivants regagnent leurs tanières
Comme les autres, ils sont envoyés chez eux
Chez eux, dans les rangées de pierres tombales blanches
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