Paroles de la chanson Quand j'aurai bâti ma maison par Jean-Marie Vivier
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Paroles de la chanson Quand j'aurai bâti ma maison par Jean-Marie Vivier
Quand j'aurai bâti ma maison
Avec mes mains, pierre après pierre
J'y mettrai partout des chansons
Que j'avais gardées pour ma terre
Et nous y parlerons de nous
Sans trop penser c' que s'ra demain
Et nous y parlerons de tout
À part de mort car c'est chagrin
Quand j'aurai bâti ma maison
Que j'aurai fini mes voyages
Que toi et moi nous y serons
Comme pour y terminer l'ouvrage
De ce que furent tous nos jours
Jamais trop tristes ni trop gais
Nous y poursuivrons nos toujours
Avec mes mains, pierre après pierre
J'y mettrai partout des chansons
Que j'avais gardées pour ma terre
Et nous y parlerons de nous
Sans trop penser c' que s'ra demain
Et nous y parlerons de tout
À part de mort car c'est chagrin
Quand j'aurai bâti ma maison
Que j'aurai fini mes voyages
Que toi et moi nous y serons
Comme pour y terminer l'ouvrage
De ce que furent tous nos jours
Jamais trop tristes ni trop gais
Nous y poursuivrons nos toujours
Afin de mieux les achever
Quand j'aurai bâti ma maison
Près de la table avec mon pain
Dans la chaleur aigre du vin
Que le repos me sera bon
Et puis devant la cheminée
Guitare aux doigts, pipe sous le nez
Dans la douceur de ma maison
Peut-être ferai-je une chanson
Quand j'aurai bâti ma maison
Après bien des années d'errance
Mon chien attendra que je rentre
Avec un peu plus de raison
Lui, plus fidèle que jamais
Et pour me faire pardonner
De l'avoir longtemps délaissé
Quand j'aurai bâti ma maison
Près de la table avec mon pain
Dans la chaleur aigre du vin
Que le repos me sera bon
Et puis devant la cheminée
Guitare aux doigts, pipe sous le nez
Dans la douceur de ma maison
Peut-être ferai-je une chanson
Quand j'aurai bâti ma maison
Après bien des années d'errance
Mon chien attendra que je rentre
Avec un peu plus de raison
Lui, plus fidèle que jamais
Et pour me faire pardonner
De l'avoir longtemps délaissé
De pays je lui parlerai
Et quand viendra la moissonneuse
Celle qui fauche sans raison
Les chiens, les hommes et les maisons
La dame en noir, vile entraîneuse
Je m'en irai avec regrets
Ni pour les hommes ni pour les biens
Mais pour mon chien et mes couplets
Ton sourire, tes cheveux, tes mains
Et quand viendra la moissonneuse
Celle qui fauche sans raison
Les chiens, les hommes et les maisons
La dame en noir, vile entraîneuse
Je m'en irai avec regrets
Ni pour les hommes ni pour les biens
Mais pour mon chien et mes couplets
Ton sourire, tes cheveux, tes mains
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