Paroles de la chanson Entre Jura, Léman et Germanie par Jean-Marie Vivier
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Paroles de la chanson Entre Jura, Léman et Germanie par Jean-Marie Vivier
Il est entre Jura, Léman et Germanie
Un pays de montagne et d'eau et d'amitiés
Une terre tranquille sous les herbes jaunies
Que le vin fait chanter quand s'étire l'été
Il est des aubes blanches de froidure et de givre
Où tout semble mourir, où tout paraît figé
Telles un chien qui s'endort et en oublie de vivre
Seules les maisons veillent près des arbres gelés
Il est des fêtes étranges, jeux d'ombre et de lumière
Quand la terre s'éveille un matin de printemps
{x2:}
Le pas lourd des troupeaux résonne sur les pierres
Un pays de montagne et d'eau et d'amitiés
Une terre tranquille sous les herbes jaunies
Que le vin fait chanter quand s'étire l'été
Il est des aubes blanches de froidure et de givre
Où tout semble mourir, où tout paraît figé
Telles un chien qui s'endort et en oublie de vivre
Seules les maisons veillent près des arbres gelés
Il est des fêtes étranges, jeux d'ombre et de lumière
Quand la terre s'éveille un matin de printemps
{x2:}
Le pas lourd des troupeaux résonne sur les pierres
La montée à l'alpage des bêtes et des gens
Il est entre Jura, Léman et Germanie
Un pays de montagne et d'eau et d'amitiés
Des vignes accrochées qui sentent bon la vie
Et des villages tels qu'en les siècles passés
Il est de vieilles villes et des rues qui serpentent
Racontant les histoires d'un petit peuple heureux
La tranquille douceur de tous ces noms qui chantent
Et même s'il en est qui s'argentent un peu
En arrière de l'église, debout sur un perron
Septante ans bien sonnés, un petit homme fier
(x2)
Regardant alentour se fait une raison
Il n'y a pas si loin du clocher au cimetière
Il est entre Jura, Léman et Germanie
Un pays de montagne et d'eau et d'amitiés
Des vignes accrochées qui sentent bon la vie
Et des villages tels qu'en les siècles passés
Il est de vieilles villes et des rues qui serpentent
Racontant les histoires d'un petit peuple heureux
La tranquille douceur de tous ces noms qui chantent
Et même s'il en est qui s'argentent un peu
En arrière de l'église, debout sur un perron
Septante ans bien sonnés, un petit homme fier
(x2)
Regardant alentour se fait une raison
Il n'y a pas si loin du clocher au cimetière
Il est entre Jura, Léman et Germanie
Un pays de montagne et d'eau et d'amitiés
Un accent qui imprime son rythme à la vie
Le parler d'une France qui se serait calmée
Il est de ces visages que l'on garde en mémoire
Et qu'on sort de son cœur quand tout a chaviré
Quand les chemins du vide sont brodés de cafard
C'est une main tendue, le pain partagé
C'est une porte ouverte à n'importe quelle heure
Il suffit d'un regard, pas besoin d'expliquer
(x2)
Un sourire qui rassure un visage qui pleure
Un pays de montagne et d'eau et d'amitiés
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