Paroles de la chanson Chanson malade par Jean-Marie Vivier
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Paroles de la chanson Chanson malade par Jean-Marie Vivier
Ce soir j'arrête mes voyages
Dans un présent qui n'attend rien
La tête lourde et l'œil éteint
J'attends sans hâte mon naufrage
Le soleil assis sur la grève
La fleur soumise à l'araignée
L'ombre des femmes que j'ai aimées
Sous le soleil du moindre rêve
Tout me revient
Quel mal me brûle de l'intérieur ?
Quelle guérison manque à ma vie ?
Quel est l'enfer ou le mépris
Qui plaque mon âme à mes erreurs ?
Un rire qui sonne à la mémoire
Un sourire qui s'abandonne
Dans un présent qui n'attend rien
La tête lourde et l'œil éteint
J'attends sans hâte mon naufrage
Le soleil assis sur la grève
La fleur soumise à l'araignée
L'ombre des femmes que j'ai aimées
Sous le soleil du moindre rêve
Tout me revient
Quel mal me brûle de l'intérieur ?
Quelle guérison manque à ma vie ?
Quel est l'enfer ou le mépris
Qui plaque mon âme à mes erreurs ?
Un rire qui sonne à la mémoire
Un sourire qui s'abandonne
La pluie qui veut qu'on lui pardonne
Le vent qui se reverse à boire
Tout me revient
Je brûle une rage au bord des lèvres
Dans un baiser triste et stupide
Je sens si fort l'attrait du vide
Que je ne suis plus que ma fièvre
Un film d'amour à la télé
Un court-bouillon qui t'ensoleille
Un canard vieux d'une semaine
L'aumône des jours au cendrier
Tout me revient
Quel faux soleil coule dans ma tête ?
À quel rayon suis-je accroché ?
Quel petit prince m'a déserté
Pour quelle étoile, pour quelle planète ?
Le vent qui se reverse à boire
Tout me revient
Je brûle une rage au bord des lèvres
Dans un baiser triste et stupide
Je sens si fort l'attrait du vide
Que je ne suis plus que ma fièvre
Un film d'amour à la télé
Un court-bouillon qui t'ensoleille
Un canard vieux d'une semaine
L'aumône des jours au cendrier
Tout me revient
Quel faux soleil coule dans ma tête ?
À quel rayon suis-je accroché ?
Quel petit prince m'a déserté
Pour quelle étoile, pour quelle planète ?
Paris qui s'ouvre les artères
Moi, mon plafond cogne à mes yeux
C'est l'heure où l'on peut croire en Dieu
Paris tu n'as qu'un cœur de pierre
Tout me revient
La la la...
Moi, mon plafond cogne à mes yeux
C'est l'heure où l'on peut croire en Dieu
Paris tu n'as qu'un cœur de pierre
Tout me revient
La la la...
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