Paroles de la chanson Octobre rouge par Charlet
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Paroles de la chanson Octobre rouge par Charlet
J’pensais qu’t’étais la bonne, j’pensais qu’on était comme
Deux êtres éternellement bercés par le chant des oiseaux
J’pensais qu’t’étais la bonne, j’pensais qu’on était comme
Mais le temps nous a transformés en la plaie et le couteau
Cela fait maintenant un bout d’temps et me revoilà puceau
Il m’arrive encore d’en pleurer, jusqu’à plus d’eau
J’sais plus ce que ça fait d’aimer, j’sais pas ce que tu fais demain
J’pourrais t’insulter d’tous les noms mais j’vais pas faire le gamin
Deux êtres éternellement bercés par le chant des oiseaux
J’pensais qu’t’étais la bonne, j’pensais qu’on était comme
Mais le temps nous a transformés en la plaie et le couteau
Cela fait maintenant un bout d’temps et me revoilà puceau
Il m’arrive encore d’en pleurer, jusqu’à plus d’eau
J’sais plus ce que ça fait d’aimer, j’sais pas ce que tu fais demain
J’pourrais t’insulter d’tous les noms mais j’vais pas faire le gamin
J’suis sûr que Cupidon, avait bien visé
Mais les flèches devaient sûrement, être en papier
J’étais sûr que cette distance, allait nous déchirer
Mais d’un côté j’pensais aussi qu’on allait se désirer
Tu m’as tué en facetime j’avais ta tête en face cam
Mon cœur faisait du tam-tam t’as détruit mon état d’âme
Un premier mois d’octobre, aux couleurs rouges charmantes puis pour finir un quatrième
Aux couleurs rouges sanglantes
C’est l’octobre rouge
L’octobre rouge
Mais les flèches devaient sûrement, être en papier
J’étais sûr que cette distance, allait nous déchirer
Mais d’un côté j’pensais aussi qu’on allait se désirer
Tu m’as tué en facetime j’avais ta tête en face cam
Mon cœur faisait du tam-tam t’as détruit mon état d’âme
Un premier mois d’octobre, aux couleurs rouges charmantes puis pour finir un quatrième
Aux couleurs rouges sanglantes
C’est l’octobre rouge
L’octobre rouge
Je pense t’avoir aimée comme Gainsbourg et ses cigarettes
Je pense que je n’ai jamais écrit un aussi beau texte
Je pense que tu n’as jamais été une aussi belle ex
J’pense que tu m’as tué comme Gainsbourg et ses cigarettes
J’voudrais modif’ mon regard vide mais la vie c’est pas photoshop
J’voudrais mentir t’innocenter et dire que c’est la faute aux cops
Aujourd’hui j’ai tourné la page mais mon livre n’est pas fini
Tel un esprit fragile au bord du rivage je suis indécis
Peut-être un mal pour un bien si jamais tu fais naître mon succès
Je pense que je n’ai jamais écrit un aussi beau texte
Je pense que tu n’as jamais été une aussi belle ex
J’pense que tu m’as tué comme Gainsbourg et ses cigarettes
J’voudrais modif’ mon regard vide mais la vie c’est pas photoshop
J’voudrais mentir t’innocenter et dire que c’est la faute aux cops
Aujourd’hui j’ai tourné la page mais mon livre n’est pas fini
Tel un esprit fragile au bord du rivage je suis indécis
Peut-être un mal pour un bien si jamais tu fais naître mon succès
Peut-être qu’un jour grâce à toi des fans viendront m’sucer
Maman m’a dit même les plus jolies fleurs finissent fanées
Un petit pincement au cœur une histoire dure à avaler
Mais comme toutes les putains d’douleurs ça va s’estomper
Exactement comme tous les premiers amours on s’est trompés
C’est l’octobre rouge
L’octobre rouge
J’sais pas quoi faire de ton numéro, de toutes ces photos
Je joue des fausses notes sur ton piano
L’impression d’avoir survécu à mon nom écrit dans l’Death Note
Maman m’a dit même les plus jolies fleurs finissent fanées
Un petit pincement au cœur une histoire dure à avaler
Mais comme toutes les putains d’douleurs ça va s’estomper
Exactement comme tous les premiers amours on s’est trompés
C’est l’octobre rouge
L’octobre rouge
J’sais pas quoi faire de ton numéro, de toutes ces photos
Je joue des fausses notes sur ton piano
L’impression d’avoir survécu à mon nom écrit dans l’Death Note
Prochaine mission casser des culs et faire kiffer mes potes
Mes humeurs mélancoliques sont les piliers d’mon écriture
J’ai mes quarts d’heure alcooliques où ma tête frotte contre les murs
T’as fait ton choix un vendredi soir, depuis j’m’invente des histoires, des scénarios dérisoires
Depuis tous mes vendredis sont noirs, le cœur sur une balançoire, j’discute avec mon miroir
J’avais déjà prévu l’futur en discutant avec Héra
Les promesses des moments obscurs que l’on a passés sous les draps
Je n’sais plus si mes proches doivent m’aider ou me délaisser
Je n’sais pas si je dois encore t’aimer ou te détester
Mes humeurs mélancoliques sont les piliers d’mon écriture
J’ai mes quarts d’heure alcooliques où ma tête frotte contre les murs
T’as fait ton choix un vendredi soir, depuis j’m’invente des histoires, des scénarios dérisoires
Depuis tous mes vendredis sont noirs, le cœur sur une balançoire, j’discute avec mon miroir
J’avais déjà prévu l’futur en discutant avec Héra
Les promesses des moments obscurs que l’on a passés sous les draps
Je n’sais plus si mes proches doivent m’aider ou me délaisser
Je n’sais pas si je dois encore t’aimer ou te détester
C’est l’octobre rouge
...
C’est l’octobre rouge
L’octobre rouge
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