Paroles de la chanson Tatou Et Tarien par Chantal Goya
Auteurs: Jean-Jacques Debout
Compositeurs: Jean-Jacques Debout
Editeurs: Masq Editions
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Paroles de la chanson Tatou Et Tarien par Chantal Goya
Deux petits singes, Tatou et Tarien
Un jour d’orage, ont pris un chemin
Pour une ville, qui brillait là-bas
Arrivant bien tranquilles, se tenant par le bras
Deux petits singes, Tatou et Tarien
Voulaient connaître, tout ce qui est bien
La Tour Eiffel, pour monter aussi
Et contempler ainsi, tous les toits de Paris, la nuit
Après avoir escaladé tous les barreaux
Ils ont vu enfin la place du Trocadéro
Mais la police, voulu très vite, maîtriser aussitôt
Ces voyous bizarres qui courraient sans s’arrêter
Un jour d’orage, ont pris un chemin
Pour une ville, qui brillait là-bas
Arrivant bien tranquilles, se tenant par le bras
Deux petits singes, Tatou et Tarien
Voulaient connaître, tout ce qui est bien
La Tour Eiffel, pour monter aussi
Et contempler ainsi, tous les toits de Paris, la nuit
Après avoir escaladé tous les barreaux
Ils ont vu enfin la place du Trocadéro
Mais la police, voulu très vite, maîtriser aussitôt
Ces voyous bizarres qui courraient sans s’arrêter
Cernés par les phares et tous les coups de sifflet
Et comme deux mouches, sur l’ bateau-mouche
Vite ils se sont cachés
Deux petits singes, Tatou et Tarien
Le long de la Seine, comme deux petits malins
Sautèrent à terre, Boulevard Saint-Germain
Et là dévalisèrent tous les grands magasins
Quelle escapade, au musée d’Orsay
Autour d’un cadre, ils se balançaient
Devant la foule, qui criait « assez ! »
Ils se sont évadés par les toits qui les attendaient
Deux petits singes, Tatou et Tarien
Un soir d’orage, m’ont donné la main
Quelle panique, sous mon parapluie
Et comme deux mouches, sur l’ bateau-mouche
Vite ils se sont cachés
Deux petits singes, Tatou et Tarien
Le long de la Seine, comme deux petits malins
Sautèrent à terre, Boulevard Saint-Germain
Et là dévalisèrent tous les grands magasins
Quelle escapade, au musée d’Orsay
Autour d’un cadre, ils se balançaient
Devant la foule, qui criait « assez ! »
Ils se sont évadés par les toits qui les attendaient
Deux petits singes, Tatou et Tarien
Un soir d’orage, m’ont donné la main
Quelle panique, sous mon parapluie
Tous les gens s’arrêtaient et restaient ébahis
Deux petits singes, Tatou et Tarien
Un jour d’orage, suivirent mon chemin
Le long de la Seine, les quais de Paris
Ils n’ont pas tout perdu, en venant à Paris, merci
Deux petits singes, Tatou et Tarien !
Deux petits singes, Tatou et Tarien
Un jour d’orage, suivirent mon chemin
Le long de la Seine, les quais de Paris
Ils n’ont pas tout perdu, en venant à Paris, merci
Deux petits singes, Tatou et Tarien !
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