Paroles de la chanson Milkshake par Zed Yun Pavarotti
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Paroles de la chanson Milkshake par Zed Yun Pavarotti
On pourrait s'entendre, on va s'regarder
Tu pourrais me pendre, tu voudrais m'aider
On va s'ouvrir, on va faire les choses
Qui sont stupides, j'voudrais t'faire souffrir
Pour être précis, pour le plaisir, pour le plaisir
J'ai un million d'balles pour mon jeu et j'veux des points
J'suis arrivé pété au bal, j'me leurrais au coin
C'est glacé le lac, reflète vraiment bien l'amour
Réfléchis ne pense pas, pas le moins du monde
Je fais des grands tours de tourniquet
Avec mon Uzi, c'est compliqué
Tu pourrais me pendre, tu voudrais m'aider
On va s'ouvrir, on va faire les choses
Qui sont stupides, j'voudrais t'faire souffrir
Pour être précis, pour le plaisir, pour le plaisir
J'ai un million d'balles pour mon jeu et j'veux des points
J'suis arrivé pété au bal, j'me leurrais au coin
C'est glacé le lac, reflète vraiment bien l'amour
Réfléchis ne pense pas, pas le moins du monde
Je fais des grands tours de tourniquet
Avec mon Uzi, c'est compliqué
L'orage est si grand, la perte est si gigantesque, yah
Sa culotte m'est chère, le reste va nous dépenser, eh
S'il faisait plus fort, j'aimerais bien te réchauffer
Mais il y a le bain et on n'fait que réfléchir
On pourrait s'entendre, on va s'regarder
Tu pourrais me pendre, tu voudrais m'aider
On va s'ouvrir, on va faire les choses
Qui sont stupides, j'voudrais t'faire souffrir
Pour être précis, pour le plaisir, pour le plaisir
On pourrait bien s'entendre, j'aurais pu miser cent francs
L'oseille attendrit, les collants s'rappellent que le meilleur est toujours celui d'après
Sa culotte m'est chère, le reste va nous dépenser, eh
S'il faisait plus fort, j'aimerais bien te réchauffer
Mais il y a le bain et on n'fait que réfléchir
On pourrait s'entendre, on va s'regarder
Tu pourrais me pendre, tu voudrais m'aider
On va s'ouvrir, on va faire les choses
Qui sont stupides, j'voudrais t'faire souffrir
Pour être précis, pour le plaisir, pour le plaisir
On pourrait bien s'entendre, j'aurais pu miser cent francs
L'oseille attendrit, les collants s'rappellent que le meilleur est toujours celui d'après
Mais après moi, y a qu'des animaux, j'peux grogner fort mais t'as pas
Les rideaux qu'il faut, j'pourrais t'prendre en entier
Ou à demi-mot, même ce que je fais m'achève
Te faire mal au dos, j'ai pas trop le temps, je dois retrousser mes manches
C'que tu mets dans ton corps a touché mes poches
Tes parents m'aimaient, ils ont découvert le monstre
T'adorais ma hauteur, j'ai perforé le sol
On pourrait s'entendre, on va s'regarder
Tu pourrais me pendre, tu voudrais m'aider
On va s'ouvrir, on va faire les choses
Qui sont stupides, j'voudrais t'faire souffrir
Pour être précis, pour le plaisir, pour le plaisir
Les rideaux qu'il faut, j'pourrais t'prendre en entier
Ou à demi-mot, même ce que je fais m'achève
Te faire mal au dos, j'ai pas trop le temps, je dois retrousser mes manches
C'que tu mets dans ton corps a touché mes poches
Tes parents m'aimaient, ils ont découvert le monstre
T'adorais ma hauteur, j'ai perforé le sol
On pourrait s'entendre, on va s'regarder
Tu pourrais me pendre, tu voudrais m'aider
On va s'ouvrir, on va faire les choses
Qui sont stupides, j'voudrais t'faire souffrir
Pour être précis, pour le plaisir, pour le plaisir
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