Paroles de la chanson Les Nuits Blanches par Zaza Fournier
Auteurs: Fournier
Compositeurs: Fournier
Editeurs: Universal Music Publishing,Teranga Editions
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Paroles de la chanson Les Nuits Blanches par Zaza Fournier
J’ouvre le frigo
Quand j’ai un peu trop chaud
Et la lumière du néon
Dessine sur le plafond
Toutes mes nuits blanches
Et le lustre qui penche
J’apprends à marcher sur la tête
Je compte les petites bêtes
Une bouteille s’échappe
Et sur le carrelage
J’ai du lait jusqu’aux genoux
Je nage dans ma cuisine
Ça n’est plus de mon âge
Je fais la planche et tout et tout
Quand j’ai un peu trop chaud
Et la lumière du néon
Dessine sur le plafond
Toutes mes nuits blanches
Et le lustre qui penche
J’apprends à marcher sur la tête
Je compte les petites bêtes
Une bouteille s’échappe
Et sur le carrelage
J’ai du lait jusqu’aux genoux
Je nage dans ma cuisine
Ça n’est plus de mon âge
Je fais la planche et tout et tout
Refrain
Ah faites que je ne m’endorme jamais
Que le sommeil me fuie pour toujours
Et laissez-moi divaguer en paix
Ah faites que je ne m’endorme jamais
Que le sommeil me fuie pour toujours
Et laissez-moi divaguer en paix
Tous les plombs ont sauté
Les volets sont fermés
Ma maison ne marche plus
J’ai froid je suis toute nue
Je cherche un pyjama
Qui voudrait bien de moi
Mais les lieux sont déserts
Personne pour me dire de me taire
Tâtonnant dans le noir
Jusqu’à la salle de bain
Je mets du rouge je me parfume
J’m’allonge dans la baignoire
J’suis prête si quelqu’un vient
Et tant pis si j’attrape un rhume
Ah faites que je ne m’endorme jamais
Que le sommeil me fuit pour toujours`
Et laissez-moi me promener en paix
Je sens sous mes pieds
Les rainures du plancher
Qui bougent qui gesticulent
Comme des rivières minuscules
Tâtonnant dans le noir
Jusqu’à la salle de bain
Je mets du rouge je me parfume
J’m’allonge dans la baignoire
J’suis prête si quelqu’un vient
Et tant pis si j’attrape un rhume
Ah faites que je ne m’endorme jamais
Que le sommeil me fuit pour toujours`
Et laissez-moi me promener en paix
Je sens sous mes pieds
Les rainures du plancher
Qui bougent qui gesticulent
Comme des rivières minuscules
Tandis que je grelotte
Mon oreiller sanglote
Il dit « Mais viens te coucher
Je ne te le pardonnerai jamais »
Je console mon lit
Ça n’est pas de sa faute
Je m’habille devant la fenêtre
Personne dans la nuit
Pour me toucher les côtes
Un chat somnambule peut-être
Ah faites que je ne m’endorme jamais
Que le sommeil me fuie pour toujours
Et laissez-moi rêvasser en paix
Mon oreiller sanglote
Il dit « Mais viens te coucher
Je ne te le pardonnerai jamais »
Je console mon lit
Ça n’est pas de sa faute
Je m’habille devant la fenêtre
Personne dans la nuit
Pour me toucher les côtes
Un chat somnambule peut-être
Ah faites que je ne m’endorme jamais
Que le sommeil me fuie pour toujours
Et laissez-moi rêvasser en paix
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