Paroles de la chanson Un paradis par Ycare
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Paroles de la chanson Un paradis par Ycare
On vivra tous un paradis
Après la guerre, après la guerre
On se lavera dans la mer
On prendra un bain de minuit
Et on dira aux gens qui aiment
Continuez d'aimer quand même
Malgré la gifle et les tourments
Malgré les coups, les vents violents
On sortira de la tempête
Avec une couronne sur la tête
Aux grands sourires des gens blessés
C'est comme ça qu'on se reconnait
Et si on laisse quelques plumes
Dans tout ce que l'enfance exhume
Les amis perdus et la rage,
De s'être trouvés là, sous l'orage
Après la guerre, après la guerre
On se lavera dans la mer
On prendra un bain de minuit
Et on dira aux gens qui aiment
Continuez d'aimer quand même
Malgré la gifle et les tourments
Malgré les coups, les vents violents
On sortira de la tempête
Avec une couronne sur la tête
Aux grands sourires des gens blessés
C'est comme ça qu'on se reconnait
Et si on laisse quelques plumes
Dans tout ce que l'enfance exhume
Les amis perdus et la rage,
De s'être trouvés là, sous l'orage
On ira dire aux gens qui tombent
Que les ailes s'ouvrent au bord du monde
La nuit n'a jamais empêché
Le grand soleil de se lever
Quand on saura qu'on est l'hostie
Qu'on est le secret du rosaire
Qu'on est la clé depuis la nuit
Que chaque jour est une vie entière
Qu'on est humains mais pas voleurs
Qu'on n'est pas de pauvres pêcheurs
On fera corps avec l'esprit
On sera le poumon de la vie
Alors enfin, on reconnaitra
Avoir le coeur au même endroit
Tels des millions de petits feux
On sera des soleils contagieux
On fera une armée un jour
Qui n'aura d'arme que l'amour
Que les ailes s'ouvrent au bord du monde
La nuit n'a jamais empêché
Le grand soleil de se lever
Quand on saura qu'on est l'hostie
Qu'on est le secret du rosaire
Qu'on est la clé depuis la nuit
Que chaque jour est une vie entière
Qu'on est humains mais pas voleurs
Qu'on n'est pas de pauvres pêcheurs
On fera corps avec l'esprit
On sera le poumon de la vie
Alors enfin, on reconnaitra
Avoir le coeur au même endroit
Tels des millions de petits feux
On sera des soleils contagieux
On fera une armée un jour
Qui n'aura d'arme que l'amour
Qu'importent les guerres, qu'importent les guerres
Porter l'amour jusqu'aux Enfers
On ira dire aux gens qui souffrent
Que les ailes s'ouvrent au bord du gouffre
La nuit n'a jamais empêché
Le grand soleil de se lever
On les traitera un jour de diables
D'avoir pleurer des innocents
Ils soutiendront l'insoutenable
Et l'indéfendable défendront
Mais au fond des yeux on saura
Du moins presque autant qu'ils sauront
Qu'ils ont préféré à la voix de la paix
Le feu des passions
On ira dire aux gens qui souffrent
D'encore tenir leur souffle
Le jour, et maintenant on le sait,
Porter l'amour jusqu'aux Enfers
On ira dire aux gens qui souffrent
Que les ailes s'ouvrent au bord du gouffre
La nuit n'a jamais empêché
Le grand soleil de se lever
On les traitera un jour de diables
D'avoir pleurer des innocents
Ils soutiendront l'insoutenable
Et l'indéfendable défendront
Mais au fond des yeux on saura
Du moins presque autant qu'ils sauront
Qu'ils ont préféré à la voix de la paix
Le feu des passions
On ira dire aux gens qui souffrent
D'encore tenir leur souffle
Le jour, et maintenant on le sait,
Finit toujours par se lever.
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