Paroles de la chanson Seul par Therapetik
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Paroles de la chanson Seul par Therapetik
Déborder dans ma ville de prime abord
Comme un enfant seul au milieu de corps
Des milliers de visages de destinés
De futures otages prédestinés
À la contrainte de nos désirs
A la contrainte de nos sourire
A la contrainte de s’abrutir
A la contraire de ne pas fuir
A la contrainte de ne pas mourir
Ou finir seul, seul dans ce vide plein de rien
Seul dans la nuit, seul dans l’ennuie, seul dans l’envie,
seul quand j’ecris, seul quand je ri
Seul… seul meme à deux juste seul (seul)
Quel est le chemin dans le tumulte
Quand l’envie vacille l’amour s’exécute
Comme un enfant seul au milieu de corps
Des milliers de visages de destinés
De futures otages prédestinés
À la contrainte de nos désirs
A la contrainte de nos sourire
A la contrainte de s’abrutir
A la contraire de ne pas fuir
A la contrainte de ne pas mourir
Ou finir seul, seul dans ce vide plein de rien
Seul dans la nuit, seul dans l’ennuie, seul dans l’envie,
seul quand j’ecris, seul quand je ri
Seul… seul meme à deux juste seul (seul)
Quel est le chemin dans le tumulte
Quand l’envie vacille l’amour s’exécute
Entre cuite et pute la ville me rebute
Les bites puent la cock les meufs se les disputent
Je pourrais devenir l’un de ces connard
Dont la tise est l’étau
Attirer les tazer défoncé à l’hero
Que la balle me prenne sur le trottoir
Que la ville reprenne cette touche espoir
Les lumières défilent épris de vitesse
L’empire des bassesses berce les coeur trop aride
Seul dans le vague me laissant porter
Les vagues m’emportent jusqu’a me border
Déborder dans ma ville de prime abort
Comme un enfant seul au milieu de corps
Des milkliers de visages de destinés
De futures otages prédestinés
À la contrainte de nos désirs
Les bites puent la cock les meufs se les disputent
Je pourrais devenir l’un de ces connard
Dont la tise est l’étau
Attirer les tazer défoncé à l’hero
Que la balle me prenne sur le trottoir
Que la ville reprenne cette touche espoir
Les lumières défilent épris de vitesse
L’empire des bassesses berce les coeur trop aride
Seul dans le vague me laissant porter
Les vagues m’emportent jusqu’a me border
Déborder dans ma ville de prime abort
Comme un enfant seul au milieu de corps
Des milkliers de visages de destinés
De futures otages prédestinés
À la contrainte de nos désirs
A la contrainte de nos sourire
A la contrainte de s’abrutir
A la contraire de ne pas fuir
A la contrainte de ne pas mourir
Ou finir seul,
Finir seul un peu plus chaque jours
Poussé par la faucheuse
Poussé par ses pensés
Poussé par les autres
Poussé par meme ceux qui pousse pas les autres
Seul dans l’ennui entre Taff et hobby quel but est ici
J’enrage mais je vie a quoi bon courir
Mourir ou parler / me noie a penser
Rapper ou dormir, finir par sombrer / rentrer dans le rang
a choisir je fuirai jusqu’a d’autre sommets
Ou les gens m’ecoutent arrivent à me guérir
A la contrainte de s’abrutir
A la contraire de ne pas fuir
A la contrainte de ne pas mourir
Ou finir seul,
Finir seul un peu plus chaque jours
Poussé par la faucheuse
Poussé par ses pensés
Poussé par les autres
Poussé par meme ceux qui pousse pas les autres
Seul dans l’ennui entre Taff et hobby quel but est ici
J’enrage mais je vie a quoi bon courir
Mourir ou parler / me noie a penser
Rapper ou dormir, finir par sombrer / rentrer dans le rang
a choisir je fuirai jusqu’a d’autre sommets
Ou les gens m’ecoutent arrivent à me guérir
/ si j’ai plus de temps je retournerai d’ou je viens
De nulle part pourtant je m’y sentirai bien
/ m’y sentirai mieux, j’y finirai mieux, j’finirai loin de toi j’y finirai seul
De nulle part pourtant je m’y sentirai bien
/ m’y sentirai mieux, j’y finirai mieux, j’finirai loin de toi j’y finirai seul
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