Paroles de la chanson Partir à Zanzibar par Starshooter
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Paroles de la chanson Partir à Zanzibar par Starshooter
Partir, partir à Zanzibar
Partir, partir à Zanzibar
Partir, partir à Zanzibar
Partir, partir à Zanzibar
Ça fait trop longtemps que ça dure,
Les coups bas, les coups durs
Salut papa maman l'aventure
Au bout des chaussures
Beaucoup, beaucoup travailler,
Pour faire si la ou ré
Beaucoup, beaucoup dépenser
Pour payer belle guitare, et plus broyer du noir
Et larguer les amarres pour Zanzibar !
Partir, partir à Zanzibar
Partir, partir à Zanzibar
Partir, partir à Zanzibar
Partir, partir à Zanzibar
Ça fait trop longtemps que ça dure,
Les coups bas, les coups durs
Salut papa maman l'aventure
Au bout des chaussures
Beaucoup, beaucoup travailler,
Pour faire si la ou ré
Beaucoup, beaucoup dépenser
Pour payer belle guitare, et plus broyer du noir
Et larguer les amarres pour Zanzibar !
Partir, partir à Zanzibar
Partir, partir à Zanzibar
Partir, partir à Zanzibar
Partir, partir à Zanzibar
Quand tout allait mal des gens bien portants
Très très condescendants
Prêtaient l'oreille à mes balbutiements,
Pas aux peines d'argent,
Je marchais Derrière, ils roulaient devant,
Ils m'ont rendu méchant
Ils me disent vous, me saluent maintenant
M'invitent à la campagne, me présentent à leurs femmes
Mais eux c'est trop tard pour Zanzibar
Partir !
Quand tout allait mal des gens bien portants
Très très condescendants
Partir, partir à Zanzibar
Partir, partir à Zanzibar
Quand tout allait mal des gens bien portants
Très très condescendants
Prêtaient l'oreille à mes balbutiements,
Pas aux peines d'argent,
Je marchais Derrière, ils roulaient devant,
Ils m'ont rendu méchant
Ils me disent vous, me saluent maintenant
M'invitent à la campagne, me présentent à leurs femmes
Mais eux c'est trop tard pour Zanzibar
Partir !
Quand tout allait mal des gens bien portants
Très très condescendants
Prêtaient l'oreille à mes balbutiements,
Pas aux peines d'argent,
Je marchais derrière, ils roulaient devant,
Ils m'ont rendu méchant
Ils me disent vous, me saluent maintenant
Minvitent à la campagne, me présentent à leur femme
Mais eux c'est trop tard pour Zanzibar
Pas aux peines d'argent,
Je marchais derrière, ils roulaient devant,
Ils m'ont rendu méchant
Ils me disent vous, me saluent maintenant
Minvitent à la campagne, me présentent à leur femme
Mais eux c'est trop tard pour Zanzibar
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