Paroles de la chanson Train Mistral par SCH
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Paroles de la chanson Train Mistral par SCH
J'ai quitté ma colline que l'on appelle "Garlaban"
Sous un soleil de plomb où les hommes parlent en chantant
Et les tissus blancs sèchent au grès du vent
Adieu
Je verse une larme sur le quai, les souliers sur le marche-pieds du wagon
Les sourires vivent encore et résonnent au fond de mon âme de garçon
Pour définir ce que je suis, les hommes auront sans doute un vieux dicton
Qui dit que "les chiens ne font pas des chats", que "l'occasion fait le larron"
Paris m'attend, ma ville aussi maintenant que le train s'éloigne et rapetissit
Sous un soleil de plomb où les hommes parlent en chantant
Et les tissus blancs sèchent au grès du vent
Adieu
Je verse une larme sur le quai, les souliers sur le marche-pieds du wagon
Les sourires vivent encore et résonnent au fond de mon âme de garçon
Pour définir ce que je suis, les hommes auront sans doute un vieux dicton
Qui dit que "les chiens ne font pas des chats", que "l'occasion fait le larron"
Paris m'attend, ma ville aussi maintenant que le train s'éloigne et rapetissit
Comme l'espoir des gens d'ici, comme l'espoir des gens d'ici
Du tabac sec, presque rien dans les poches
Sur la capitale, près des bords de Seine
Les artistes peintres peignent à l'aquarelle
Des cathédrales et des tours Eiffel
Quand le jour et la ville se réveillent
A la rosée de l'aube, je traversais la ville dans ce tramway
Derrière la corniche au bout du monde
Avant que les années nous fassent de l'ombre
Comme les voiliers qui quittent le port
Je vais lever l'ancre, la revoir en été
Je vais lever l'ancre, ne plus pouvoir en rêver, en rêver
Du tabac sec, presque rien dans les poches
Sur la capitale, près des bords de Seine
Les artistes peintres peignent à l'aquarelle
Des cathédrales et des tours Eiffel
Quand le jour et la ville se réveillent
A la rosée de l'aube, je traversais la ville dans ce tramway
Derrière la corniche au bout du monde
Avant que les années nous fassent de l'ombre
Comme les voiliers qui quittent le port
Je vais lever l'ancre, la revoir en été
Je vais lever l'ancre, ne plus pouvoir en rêver, en rêver
Ne plus pouvoir en rêver
La vie dans chaque soupir, voir défiler les années ne plus pouvoir en guérir
La Méditerranée dans sa robe azur, sous son ciel doré
Quand revient l'obscur, et des instants figés d'amis
Sur des vieilles photographies
Flâner sur les grands boulevards, rentrer seul en taxi
Un peu morose est la routine quand l'hiver me chagrine
Mais je reverrai ma colline
A la rosée de l'aube, je traversais la ville dans ce tramway
Derrière la corniche au bout du monde
La vie dans chaque soupir, voir défiler les années ne plus pouvoir en guérir
La Méditerranée dans sa robe azur, sous son ciel doré
Quand revient l'obscur, et des instants figés d'amis
Sur des vieilles photographies
Flâner sur les grands boulevards, rentrer seul en taxi
Un peu morose est la routine quand l'hiver me chagrine
Mais je reverrai ma colline
A la rosée de l'aube, je traversais la ville dans ce tramway
Derrière la corniche au bout du monde
Avant que les années nous fassent de l'ombre
Comme les voiliers qui quittent le port
Je vais lever l'ancre, la revoir en été
Je vais lever l'ancre, ne plus pouvoir en rêver, en rêver
Comme les voiliers qui quittent le port
Je vais lever l'ancre, la revoir en été
Je vais lever l'ancre, ne plus pouvoir en rêver, en rêver
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