Paroles de la chanson CASPER (traduction) par Quadeca
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Paroles de la chanson CASPER (traduction) par Quadeca
Je veux aller quelque part
Pourquoi ne pouvons-nous pas simplement aller quelque part ?
Pouvons-nous aller quelque part qui attend ?
Qui ne s'éloignera pas de nous ? (De nous ? De nous ?)
Oh
Il y a un sentiment de vulnérabilité
Oh, woah
C'est un endroit qui ne part pas, qui ne part pas
[Harry Wilkinson]
Les réponses que j'ai trouvées
Sont surexposées
Tu es né avec beaucoup à corriger
Tu es né avec un puzzle à résoudre
Pourquoi ne pouvons-nous pas simplement aller quelque part ?
Pouvons-nous aller quelque part qui attend ?
Qui ne s'éloignera pas de nous ? (De nous ? De nous ?)
Oh
Il y a un sentiment de vulnérabilité
Oh, woah
C'est un endroit qui ne part pas, qui ne part pas
[Harry Wilkinson]
Les réponses que j'ai trouvées
Sont surexposées
Tu es né avec beaucoup à corriger
Tu es né avec un puzzle à résoudre
Tu n'es pas haut, tu es juste redevenu un enfant
Retourné sur un chemin, caché dans l'herbe envahissante
Si tu ne l'avais pas poursuivi
Il serait resté immobile
L'horizon est un animal proie
Qui se nourrit d'hommes qui prient comme des animaux
Et maintenant il prend forme, et prend son envol
Il peut t'emmener n'importe où tu veux
Ouvre ta main et ta paume
Étouffe le compte à rebours de l'alarme
La ligne se courbe en un chemin à travers les nuages
La queue enveloppée dans les vagues, sa bouche couverte de ciel
J'ai prié une dernière fois, mais je ne savais pas
Retourné sur un chemin, caché dans l'herbe envahissante
Si tu ne l'avais pas poursuivi
Il serait resté immobile
L'horizon est un animal proie
Qui se nourrit d'hommes qui prient comme des animaux
Et maintenant il prend forme, et prend son envol
Il peut t'emmener n'importe où tu veux
Ouvre ta main et ta paume
Étouffe le compte à rebours de l'alarme
La ligne se courbe en un chemin à travers les nuages
La queue enveloppée dans les vagues, sa bouche couverte de ciel
J'ai prié une dernière fois, mais je ne savais pas
Il peut sentir la peur sur ton souffle
Et la sueur dans les mains d'un homme
Qui ne s'est jamais pardonné
Et les réponses que je désire désespérément
Me couvriront sous la forme d'une grotte
Enlevant une pierre d'un toit
Tenu ensemble avec rien d'autre que de la tension
Je pourrais mettre fin au monde
Avec un glissement de l'autre côté du plafond
J'accepte ta réponse
J'étais juste un prétendant
Qui a appris à se rendre
Au moins je sais quelque chose que tu ne sais pas
Dans le tableau d'ensemble, où je m'étends au-delà du cadre
Ton monde se terminera à la maison
Et pour toi, ce sera assez bien
Mon monde se termine tellement plus mal
Et la sueur dans les mains d'un homme
Qui ne s'est jamais pardonné
Et les réponses que je désire désespérément
Me couvriront sous la forme d'une grotte
Enlevant une pierre d'un toit
Tenu ensemble avec rien d'autre que de la tension
Je pourrais mettre fin au monde
Avec un glissement de l'autre côté du plafond
J'accepte ta réponse
J'étais juste un prétendant
Qui a appris à se rendre
Au moins je sais quelque chose que tu ne sais pas
Dans le tableau d'ensemble, où je m'étends au-delà du cadre
Ton monde se terminera à la maison
Et pour toi, ce sera assez bien
Mon monde se termine tellement plus mal
Et tellement plus difficile
Pour moi, c'est mieux
Pour lui, nous sommes les mêmes
Et pour tout le monde
Pour tout le monde
[Harry Wilkinson]
Le capitaine se tient seul, les bras vers le ciel
La symphonie de la solitude, inaudible en elle-même
Il ouvre une bouteille, c'est le seul ami qu'il connaît
Des années sans expression l'ont laissé amer, comateux
La pluie est torrentielle, il donne un sourire édenté
Sur le point de rencontrer le diable, des projections de l'intérieur
Pour moi, c'est mieux
Pour lui, nous sommes les mêmes
Et pour tout le monde
Pour tout le monde
[Harry Wilkinson]
Le capitaine se tient seul, les bras vers le ciel
La symphonie de la solitude, inaudible en elle-même
Il ouvre une bouteille, c'est le seul ami qu'il connaît
Des années sans expression l'ont laissé amer, comateux
La pluie est torrentielle, il donne un sourire édenté
Sur le point de rencontrer le diable, des projections de l'intérieur
L'éclair frappe l'océan, illuminant les peurs
La profondeur reflète son esprit, son temps approche
Comptant chaque moment, souhaitant que les minutes passent
Des vagues aussi grandes que des montagnes, poussé à ses limites
Le vide de l'oubli, la réalité s'installe
Consumé par le rugissement de la peur, mille voix sourient
Le cœur battant, il finit la bouteille
Monte à la voile, agrippé, espérant demain
Alors que tout son équipage a été emporté, perdu dans l'océan
Le fantôme de ses amis commence à le hanter, l'esprit brisé
Disparaissent comme les étoiles dans une nuit sombre et brumeuse
La profondeur reflète son esprit, son temps approche
Comptant chaque moment, souhaitant que les minutes passent
Des vagues aussi grandes que des montagnes, poussé à ses limites
Le vide de l'oubli, la réalité s'installe
Consumé par le rugissement de la peur, mille voix sourient
Le cœur battant, il finit la bouteille
Monte à la voile, agrippé, espérant demain
Alors que tout son équipage a été emporté, perdu dans l'océan
Le fantôme de ses amis commence à le hanter, l'esprit brisé
Disparaissent comme les étoiles dans une nuit sombre et brumeuse
Le mal loge le vent alors qu'il aboie dans son esprit
Le tonnerre fend les tympans, comme le bruit du métal qui se brise
Parce que le destin se rapproche, la foi a toujours manqué
Le temps est essentiel, embrasse-le ou laisse-le partir
Un réconfort à l'intérieur du courage
L'intuition toujours connue mais l'obscurité si consommatrice
La seule vie qu'il a montrée
C'est que le ciel est grand ouvert, c'est l'enfer sur terre qu'il connaît.
Le tonnerre fend les tympans, comme le bruit du métal qui se brise
Parce que le destin se rapproche, la foi a toujours manqué
Le temps est essentiel, embrasse-le ou laisse-le partir
Un réconfort à l'intérieur du courage
L'intuition toujours connue mais l'obscurité si consommatrice
La seule vie qu'il a montrée
C'est que le ciel est grand ouvert, c'est l'enfer sur terre qu'il connaît.
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