Paroles de la chanson Tu chantes encore je ne sais où par Pierre Perret
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Paroles de la chanson Tu chantes encore je ne sais où par Pierre Perret
Avant cet accident ton cœur était ouvert,
Partout où tu passais tu donnais de l’espoir ;
Avec un beau sourire dans ton bel univers
Ton visage brillait comme brille un miroir.
Tu es parti un soir d’été sans prévenir dans le silence,
Tu as laissé derrière toi un grand désert un vide immense ;
Tu as donné un peu de toi avec amour et insolence,
Tu chantes encor’ je ne sais où c’est ta grandeur ta récompense.
Si par malheur la vie devait t’abandonner,
Partout où tu passais tu donnais de l’espoir ;
Avec un beau sourire dans ton bel univers
Ton visage brillait comme brille un miroir.
Tu es parti un soir d’été sans prévenir dans le silence,
Tu as laissé derrière toi un grand désert un vide immense ;
Tu as donné un peu de toi avec amour et insolence,
Tu chantes encor’ je ne sais où c’est ta grandeur ta récompense.
Si par malheur la vie devait t’abandonner,
La force de ton âme avait dicté tes choix ;
Tu étais résolu et bien déterminé
Tu voulais être utile bienveillant à la fois.
Tu es parti un soir d’été sans prévenir dans le silence,
Tu as laissé derrière toi un grand désert un vide immense ;
Tu as donné un peu de toi avec amour et insolence,
Tu chantes encor’ je ne sais où c’est ta grandeur ta récompense.
Pour toi pas d’équivoque et pas de confusion,
Tu tenais à donner disperser du bonheur ;
Tu étais résolu et bien déterminé
Tu voulais être utile bienveillant à la fois.
Tu es parti un soir d’été sans prévenir dans le silence,
Tu as laissé derrière toi un grand désert un vide immense ;
Tu as donné un peu de toi avec amour et insolence,
Tu chantes encor’ je ne sais où c’est ta grandeur ta récompense.
Pour toi pas d’équivoque et pas de confusion,
Tu tenais à donner disperser du bonheur ;
Tu avais avec foi forgé ta décision,
Ta générosité est tout à ton honneur.
Tu es parti un soir d’été sans prévenir dans le silence,
Tu as laissé derrière toi un grand désert un vide immense ;
Tu as donné un peu de toi avec amour et insolence,
Tu chantes encor’ je ne sais où c’est ta grandeur ta récompense.
Un être au loin respire tes poumons l’ont sauvé
Un diabétique chante tes reins sont du velours,
Un malvoyant sourit sa vision retrouvée
Un inconnu fait vivre ton cœur qui bat toujours.
Ta générosité est tout à ton honneur.
Tu es parti un soir d’été sans prévenir dans le silence,
Tu as laissé derrière toi un grand désert un vide immense ;
Tu as donné un peu de toi avec amour et insolence,
Tu chantes encor’ je ne sais où c’est ta grandeur ta récompense.
Un être au loin respire tes poumons l’ont sauvé
Un diabétique chante tes reins sont du velours,
Un malvoyant sourit sa vision retrouvée
Un inconnu fait vivre ton cœur qui bat toujours.
Tu es parti un soir d’été sans prévenir dans le silence,
Tu as laissé derrière toi un grand désert un vide immense ;
Tu as donné un peu de toi avec amour et insolence,
Tu chantes encor’ je ne sais où c’est ta grandeur ta récompense.
Tu chantes encor’ je ne sais où c’est ta grandeur ta récompense.
Tu chantes encor’ je ne sais où c’est ta grandeur ta récompense.
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