Paroles de la chanson L'Amour Qui S'éteint par Pascal
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Paroles de la chanson L'Amour Qui S'éteint par Pascal
Il ne me reste, qu’un ou deux jours à vivre
J’avais pourtant, des milliers d’autres choses à découvrir
Mais personne n’est venu, et je sais que je vais mourir
Dans ma tête de chien, il y a tant de souvenirs
Je vous aimais, depuis presque une vie entière
Sept ans ; je m’en souviens comme si s’était hier
Vous m’avez balancé à travers la portière
Et vous avez disparu sans regarder en arrière
Mes souvenirs me poussent à écrire
Des mots qui me font souffrir
Et je connais enfin,
J’avais pourtant, des milliers d’autres choses à découvrir
Mais personne n’est venu, et je sais que je vais mourir
Dans ma tête de chien, il y a tant de souvenirs
Je vous aimais, depuis presque une vie entière
Sept ans ; je m’en souviens comme si s’était hier
Vous m’avez balancé à travers la portière
Et vous avez disparu sans regarder en arrière
Mes souvenirs me poussent à écrire
Des mots qui me font souffrir
Et je connais enfin,
Le goût amer de l’amour qui s’éteint
Sur le coup, je n’ai pas compris
Je pensais que c’était un jeu
Mais une fois qu’est tomber la nuit
J’ai eu peur d’être oublié et malheureux
Je suis resté seul, me traînant dans un fossé
Le cœur déchiré, et l’esprit en déroute
Gémissant de douleur, sur ma patte cassé
Personne n’est venu m’aider, sur cette autoroute
Mes souvenirs me poussent à écrire
Des mots qui me font souffrir
Et je connais enfin,
Le goût amer de l’amour qui s’éteint
Sur le coup, je n’ai pas compris
Je pensais que c’était un jeu
Mais une fois qu’est tomber la nuit
J’ai eu peur d’être oublié et malheureux
Je suis resté seul, me traînant dans un fossé
Le cœur déchiré, et l’esprit en déroute
Gémissant de douleur, sur ma patte cassé
Personne n’est venu m’aider, sur cette autoroute
Mes souvenirs me poussent à écrire
Des mots qui me font souffrir
Et je connais enfin,
Le goût amer de l’amour qui s’éteint
C’est au bout du cinquième jour
Que j’ai finit dans ce refuge
Ici, les gens n’ont pas beaucoup d’humour
Et j’ai l’impression qu’ils me jugent
N’ayez pas de remords…
Je ne dormirais pas et j’attendrais l’aurore
En guettant à travers le grillage
Que vous veniez ouvrir ma cage
(x2)
Mes souvenirs me poussent à écrire
Des mots qui me font souffrir
Et je connais enfin,
Le goût amer de l’amour qui s’éteint
Que j’ai finit dans ce refuge
Ici, les gens n’ont pas beaucoup d’humour
Et j’ai l’impression qu’ils me jugent
N’ayez pas de remords…
Je ne dormirais pas et j’attendrais l’aurore
En guettant à travers le grillage
Que vous veniez ouvrir ma cage
(x2)
Mes souvenirs me poussent à écrire
Des mots qui me font souffrir
Et je connais enfin,
Le goût amer de l’amour qui s’éteint
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