Paroles de la chanson Inciso (Traduction) par Pablo Alboran
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Paroles de la chanson Inciso (Traduction) par Pablo Alboran
[Pablo Alborán, Ana Belén]
Nous parlons tout le temps
De ce qui est éphémère et bref
De vouloir effacer et réécrire notre journal
Des années qui ont passé en une seule saison
D'une série préférée qui se termine sans le vouloir
De baisser la vitre pour sentir à nouveau la mer
De passer 24 heures à essayer de les arrêter
Du jamais et des presque, du peut-être de ce qui est volatile
[Pablo Alborán, Ana Belén]
Quelle maladresse est la seconde
Qui n'a jamais battu la minute
Quel égoïste est l'horloge qui nous veut vagabonds
Nous parlons tout le temps
De ce qui est éphémère et bref
De vouloir effacer et réécrire notre journal
Des années qui ont passé en une seule saison
D'une série préférée qui se termine sans le vouloir
De baisser la vitre pour sentir à nouveau la mer
De passer 24 heures à essayer de les arrêter
Du jamais et des presque, du peut-être de ce qui est volatile
[Pablo Alborán, Ana Belén]
Quelle maladresse est la seconde
Qui n'a jamais battu la minute
Quel égoïste est l'horloge qui nous veut vagabonds
Des épingles de nostalgie nous retiennent sans permission
Quand le cœur et l'âme ne demandent qu'une pause
[Pablo Alborán, Ana Belén]
Nous parlons tout le temps
D'essayer d'être plus heureux
Des psychologues à boire couvrent nos cicatrices
Voyons qui est le pire
Ou qui semble être le plus sain d'esprit
Quand nous naissons sans bagage et sans billet de retour
Nous donnons des leçons aux autres sans être maîtres de notre propre vie
Avec les poches pleines de déserts
Du jamais et des presque
Du peut-être de ce qui est volatile
Quand le cœur et l'âme ne demandent qu'une pause
[Pablo Alborán, Ana Belén]
Nous parlons tout le temps
D'essayer d'être plus heureux
Des psychologues à boire couvrent nos cicatrices
Voyons qui est le pire
Ou qui semble être le plus sain d'esprit
Quand nous naissons sans bagage et sans billet de retour
Nous donnons des leçons aux autres sans être maîtres de notre propre vie
Avec les poches pleines de déserts
Du jamais et des presque
Du peut-être de ce qui est volatile
[Pablo Alborán, Ana Belén]
Quelle maladresse est la seconde
Qui n'a jamais battu la minute
Quel égoïste est l'horloge qui nous veut vagabonds
Des épingles de nostalgie nous retiennent sans permission
Quand le cœur et l'âme ne demandent qu'une pause
[Pablo Alborán, Ana Belén]
Amoureuse de l'instant précédant tout
De ce que tes yeux gardent
Au moment avant de t'aimer
L'infini essaie toujours de se cacher
Il s'amuse à chaque virgule
En regardant comment notre chance court
[Pablo Alborán, Ana Belén]
Quelle maladresse est la seconde
Qui n'a jamais battu la minute
Quel égoïste est l'horloge qui nous veut vagabonds
Des épingles de nostalgie nous retiennent sans permission
Quand le cœur et l'âme ne demandent qu'une
Une, une pause.
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