Paroles de la chanson L'allumette par OGB
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Paroles de la chanson L'allumette par OGB
J'ai peur de l'ennui.
J'ai des rêves fragiles qui s'éteignent comme une allumette.
Je vide mes pensées sur papier, j'ai de l'encre plein la tête.
Le poids des mots fait du bruit, mais l'écriture est muette, je regarde par la fenêtre.
J'oublie qui je suis.
Je suis en feu dans l'ombre, on dirait que j'ai le destin d'une comète.
Quarante ans passés, je parle tout seul et j'apprends à me connaître.
Le but de ma quête : faire honneur à celle qui m'a fait naître.
Pas né pour paraître.
J'ai des rêves fragiles qui s'éteignent comme une allumette.
Je vide mes pensées sur papier, j'ai de l'encre plein la tête.
Le poids des mots fait du bruit, mais l'écriture est muette, je regarde par la fenêtre.
J'oublie qui je suis.
Je suis en feu dans l'ombre, on dirait que j'ai le destin d'une comète.
Quarante ans passés, je parle tout seul et j'apprends à me connaître.
Le but de ma quête : faire honneur à celle qui m'a fait naître.
Pas né pour paraître.
Les mots défilent, tu peux compter sur moi pour leur donner de l'importance.
J'ai la mentale d'un mousquetaire, même si dans ce biz, y'a pas d'un pour tous.
Juste envie de faire danser les consciences dans le silence pendant que ton corps pense.
Je suis dans le vaisseau-mère de l'inspiration des turbulences, sens-tu les secousses ?
J'ai peur qu'on m'oublie, comme ce chanteur aphone qui s'efface dans une chorale.
Il n'est même pas minuit, depuis 23 h, je m'ennuie et ce n'est pas normal.
Je pleure quand je souris, j'enterre mes douleurs, ma vie n'est-elle qu'un parterre floral ?
Je garde le moral.
Ouais, je garde le moral, je trimballe mes chaînes comme un ex-taulard qui veut s'intégrer.
L'impression de passer un oral, je rappe ma peine dans une cour d'école sans récré.
J'ai la mentale d'un mousquetaire, même si dans ce biz, y'a pas d'un pour tous.
Juste envie de faire danser les consciences dans le silence pendant que ton corps pense.
Je suis dans le vaisseau-mère de l'inspiration des turbulences, sens-tu les secousses ?
J'ai peur qu'on m'oublie, comme ce chanteur aphone qui s'efface dans une chorale.
Il n'est même pas minuit, depuis 23 h, je m'ennuie et ce n'est pas normal.
Je pleure quand je souris, j'enterre mes douleurs, ma vie n'est-elle qu'un parterre floral ?
Je garde le moral.
Ouais, je garde le moral, je trimballe mes chaînes comme un ex-taulard qui veut s'intégrer.
L'impression de passer un oral, je rappe ma peine dans une cour d'école sans récré.
J'ai entouré mes rêves à la craie, non, je ne laisserai personne d'autre les enterrer.
Sans mon public, je suis comme prisonnier du succès solo dans une cellule sans télé.
Tellement entêté que pour gagner peu, j'irai peut-être même jusqu'à m'endetter.
Mais je ferai semblant d'aller bien comme ton corps que tu as reboosté juste avant l'été.
Compare-moi à ce mariage un jour de pluie sans bouquet de fleurs et sans invités.
Est-ce que vous ressentez la gravité quand je vous dis avec sincérité que...
J'ai peur de l'ennui.
J'ai des rêves fragiles qui s'éteignent comme une allumette.
Je vide mes pensées sur papier, j'ai de l'encre plein la tête.
Sans mon public, je suis comme prisonnier du succès solo dans une cellule sans télé.
Tellement entêté que pour gagner peu, j'irai peut-être même jusqu'à m'endetter.
Mais je ferai semblant d'aller bien comme ton corps que tu as reboosté juste avant l'été.
Compare-moi à ce mariage un jour de pluie sans bouquet de fleurs et sans invités.
Est-ce que vous ressentez la gravité quand je vous dis avec sincérité que...
J'ai peur de l'ennui.
J'ai des rêves fragiles qui s'éteignent comme une allumette.
Je vide mes pensées sur papier, j'ai de l'encre plein la tête.
Le poids des mots fait du bruit, mais l'écriture est muette, je regarde par la fenêtre.
J'oublie qui je suis.
Je suis en feu dans l'ombre, on dirait que j'ai le destin d'une comète.
Quarante ans passés, je parle tout seul et j'apprends à me connaître.
Le but de ma quête : faire honneur à celle qui m'a fait naître.
Pas né pour paraître.
J'oublie qui je suis.
Je suis en feu dans l'ombre, on dirait que j'ai le destin d'une comète.
Quarante ans passés, je parle tout seul et j'apprends à me connaître.
Le but de ma quête : faire honneur à celle qui m'a fait naître.
Pas né pour paraître.
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