Paroles de la chanson CRIME IN THE CITY (Traduction) par Neil Young

CRIME IN THE CITY (Traduction) Paroles originales du titre
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Paroles de la chanson CRIME IN THE CITY (Traduction) par Neil Young

Tous les champions et les héros
Doivent en payer le prix,
Ils passent de soixante à zéro
ça ne tient qu'à un cheveu.
Ils voient le visage à la fenêtre
Ils sentent une ombre là dehors.
Ils ont des endroits où aller
Ils ont les gens qui observent
Ils doivent marcher dans leurs traces
Ils doivent voir ce qu'ils voient
Ils ont les gens autour d'eux.
Ils obtiennent trop gratuitement
Tous les souteneurs et les dealers
Toute la nourriture qu'ils peuvent avaler
Toutes les exclamations et les cris
Quand ils marchent dans la rue.
Ouais.

Il n'est qu'un vieux bonhomme riche
Il ne s'est jamais soucié de personne
Il aime compter ses possessions
Il a été avare pour un penny.
Il ne s'est jamais occupé de ses enfants
Jamais occupé de sa femme
Jamais rendu personne heureux
C'est comme ça qu'il a vécu sa vie.
Et un jour au soleil
ça a été comme un coup de tonnerre dans un ciel bleu
Abandonnées toutes ses possessions
Vendus ses investissement aussi
Et maintenant il vit avec les sans abris
Il possède 900 lits d’hôpital
Il préfère rester anonyme.
C'est la publicité qu'il redoute.
Ouais.

Il y a un juge dans la ville
Il part travailler chaque jour
Il passe sa vie au trinunal
Il poursuit son but comme ça.
Mais je respecte sa décision
Il en a dans le crâne.
Il est plutôt doux avec le marteau ( les sanctions)
Un peu lourd sur les amendes.
Un jour il y a eu ce ménestrel
Qui était accusé
D'avoir fait sauter la cervelle de quelqu'un
Parce qu'il avait un ampli trop gros
Et que la chanson qu'il chantait
Ce n'était pas par amour mais pour le fric
Et bien le juge a abandonné les charges
En frisant ses moustaches.
Ouais.

Bien, il y a un clown au carnaval
Il montait un cheval peint
Il venait de quelque part dans l'ouest.
Il était très drôle bien sur
Mais ce n'est pas ça qui m'a frappé:
C'était la force incroyable
Avec laquelle il captait le public
Pendant qu'il montait son cheval
Ses blagues n'étaient pas si brillantes que ça
Son sourire n'était pas spécialement sincère
Son spectacle n'avait rien de si sensationnel,
Les raisons de son succès n'étaient pas claires.
Mais il continua à se faire plein d'argent,
Un jour le cirque lui a appartenu,
Maintenant il est marié à une acrobate,
Et ils entrainent leurs enfants.
Ouais.

A présent la prison était vide,
Tous les criminels étaient partis,
La porte était restée grande ouverte,
Et une biche et son faon,
Broutaient l'herbe dans la cour.
Quand le garde-chasse entra
Et prit un fusil du gardien de prison
Et lui dit dans un large sourire
"Tuer ces daims serait stupide, monsieur
Nous les avons déjà eu ici-même
Pourquoi ne pas simplement fermer les grilles et les garder
Avec de l'intimidation et de la peur?"
Mais le garde-chasse appuya sur la gâchette
Et ces daims s'écroulèrent.
Il dit " personne ne fera la différence"
Et tous les deux regardèrent ailleurs.
Ouais.

Alors le flic passa à l'épreuve de force.
Il était sûr d'avoir raison,
Il avait eu tous les tuyaux
Sur le casse de la banque la nuit dernière.
Son meilleur ami était le braqueur
Et sa femme était une voleuse
Tous les enfants étaient des tueurs
Ils n'obtiendraient pas de répit.
Le bungalow était cerné
Quand une voix dit haut et fort
"Sortez les mains en l'air
Ou nous faisons tout sauter."
Il y avait un visage à la fenêtre
Les caméras de télé tournaient
Puis ils ont coupé pour passer au présentateur
Et l'histoire fut dite.

L'artiste regarda le producteur
Le producteur se rassit
Il dit " Ce que nous avons là
C'est une bande-son parfaite
Mais on n'a pas de voix
Et on n'a pas de chanson.
Si on pouvait terminer ça
Plus rien ne pourrait mal tourner."
Alors il renversa le cendrier
En attrapant le téléphone
Et dit " Trouvez-moi un auteur
Qui a dérivé loin de chez lui
Et assurez-vous qu'il ait faim
Assurez-vous qu'il soit seul
Livrez-moi un cheeseburger
Et le dernier Rolling Stone. "( magazine)
Ouais.

Donc, les Sioux et les Dakota
Ils ont perdu toutes leurs terres
Et maintenant un joueur de baseball
Essaie de leur prêter main forte
Peut-être qu'un jour il sera président
C'est un type assez populaire
Mais à présent le chef a des réserves
Et l'homme blanc a des plans
Il y a des oppositions au Congrès
Le projet de loi se heurte au fric
On ne peut vraiment pas prévoir
Si il va s'envoler ou s'écraser
Mais c'est la nature des politiques
C'est le nom du jeu
Voilà à quoi ça ressemble dans un tipi
Les grands vents soufflent de nouveau

"Il y a toujours de la criminalité dans la ville"
Dit le flic de terrain
"Je ne sais pas si je peux l’arrêter,
Je me sens comme de la viande dans la rue (comme à l'abattoir)
Ils ont peint ma voiture comme une cible.
Je reçois mes ordres de cinglés
Pendant que des gosses me font péter les plombs.
Bon, je joue selon leurs règles
C'est pour ça que je fais comme je le sens
J'ai pris la loi en mains."

Me voici donc dans la ruelle
Une liasse de billets en poche,
J'ai été payé par un gamin de dix ans
Il a dit qu'il m'avait à l’œil.
Il y a toujours de la criminalité dans la ville
Mais c'est bon d'être libre.
Ouais.

Maintenant je viens d'une famille
Dont le foyer est brisé
Parfois je parle avec Papa
Au téléphone.
Quand il me dit qu'il m'aime
Je sais que c'est vrai,
Mais moi je voudrais le voir
Je voudrais savoir où il est.
Mais tous mes amis sont dans le même cas
Sauf peut-être un ou deux.
Si seulement je pouvais le voir ce weekend
Si seulement je pouvais marcher dans ses pas.
Mais maintenant je fais mes trucs à moi
Parfois je suis gentil, après je suis mauvais.
Bien que mon foyer soit détruit
C'est le meilleur que j'aie jamais eu.
Ouais.

Bon, je continue de rajeunir
Ma vie a été marrante comme ça.
Avant même d'avoir appris à parler
J'ai oublié ce que j'avais à dire.
J'ai été insolent envers ma mère
J'ai été insolent envers mon prof
Je me suis fait virer du cathé
Pour avoir été insolent envers le prêtre.
Ensuite j'ai grandi pour devenir pompier
Eteindre tous les incendies de la ville
Eteindre tout ce qui fume
Mais quand j'ai jeté la lance d'incendie par terre
Le juge m'a envoyé en prison,
Il m'a mis perpétuité, sans conditionnelle.
J'aurais voulu ne jamais jeter la lance
J'aurais voulu ne jamais vieillir.

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