Paroles de la chanson Le temps lui semblera moins long par Monsieur Gontrand
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Paroles de la chanson Le temps lui semblera moins long par Monsieur Gontrand
J'ai bien connu ses amis
Ils venaient pour l'heure du thé
En semaine l'après-midi
Jouer aux jeux de société
Ils ont tous quitté la piste
Quand l’un d’eux partait elle disait
C'est moi la prochaine sur la liste
Je crains qu'aujourd'hui ce n’soit vrai
J'ai bien connu sa famille
Les dimanches, les déjeuners
Avant qu'elle ne s'éparpille
De plus en plus espacés
En partant, ils promettaient
Ils venaient pour l'heure du thé
En semaine l'après-midi
Jouer aux jeux de société
Ils ont tous quitté la piste
Quand l’un d’eux partait elle disait
C'est moi la prochaine sur la liste
Je crains qu'aujourd'hui ce n’soit vrai
J'ai bien connu sa famille
Les dimanches, les déjeuners
Avant qu'elle ne s'éparpille
De plus en plus espacés
En partant, ils promettaient
De revenir très bientôt
C'était de moins en moins vrai
Ça sonnait de plus en plus faux
Cela fait quinze ans aujourd’hui
C’était pour son anniversaire
Souffler les soixante-dix bougies
En cadeau ils m’avaient offert
Ils s’étaient dit ça va lui faire
Une présence, un compagnon
Ils s’étaient dit ça va lui plaire
Le temps lui semblera moins long
Depuis je vis à ses côtés
Pour toujours à jamais fidèle
Sur moi elle sait qu'elle peut compter
Tout comme je peux compter sur elle
C'était de moins en moins vrai
Ça sonnait de plus en plus faux
Cela fait quinze ans aujourd’hui
C’était pour son anniversaire
Souffler les soixante-dix bougies
En cadeau ils m’avaient offert
Ils s’étaient dit ça va lui faire
Une présence, un compagnon
Ils s’étaient dit ça va lui plaire
Le temps lui semblera moins long
Depuis je vis à ses côtés
Pour toujours à jamais fidèle
Sur moi elle sait qu'elle peut compter
Tout comme je peux compter sur elle
Elle m'emmène deux fois par jour
Qu'il pleuve, qu'il vente ou qu'il neige
Même promenade, même parcours
Même tour, même manège
Mettre le collier, la laisse
Ces mêmes rues où l’on s’engage
C'est à pas lents que l'on progresse
Plus rien ne presse à notre âge
Nous avancerons jusqu’au square
Pour voir la vie s’agiter
Sur un banc elle ira s’asseoir
Je me coucherai à ses pieds
Cela fait quinze ans aujourd’hui
C’était pour son anniversaire
Souffler les soixante-dix bougies
En cadeau ils m’avaient offert
Ils s’étaient dit ça va lui faire
Une présence, un compagnon
Ils s’étaient dit ça va lui plaire
Le temps lui semblera moins long
Tous deux nous ne formons qu’un
Elle me donne tout son amour
Sur ce dernier bout de chemin
Je lui donne le mien en retour
Lorsqu’elles s’envolent est-ce que les âmes
J’ai tendance à croire que oui
Des vieux chiens et des vieilles dames
Se retrouvent au paradis ?
En cadeau ils m’avaient offert
Ils s’étaient dit ça va lui faire
Une présence, un compagnon
Ils s’étaient dit ça va lui plaire
Le temps lui semblera moins long
Tous deux nous ne formons qu’un
Elle me donne tout son amour
Sur ce dernier bout de chemin
Je lui donne le mien en retour
Lorsqu’elles s’envolent est-ce que les âmes
J’ai tendance à croire que oui
Des vieux chiens et des vieilles dames
Se retrouvent au paradis ?
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