Paroles de la chanson GRANDE VIE par Lucio Bukowski
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Paroles de la chanson GRANDE VIE par Lucio Bukowski
Champs magnétiques vénusiens, j'retire mon sexe du sien
Plonge mon regard dans la nuit, laissant ma paume près du sein
J'enfile mes ailes et m'échappe, entre caresses et échardes
La ville est bre-s' et violente, eh, toujours demeure sur mes gardes
Couteau ouvert dans la manche, la Lune le nez dans la blanche
Demain, je perce le coffre, demain, je brise la branche
Demain, je remonte à travers les couches du monde et les cercles du temps
Les deux mains serrées sur le levier, je retombe à pic sur les restes du temples
Plonge mon regard dans la nuit, laissant ma paume près du sein
J'enfile mes ailes et m'échappe, entre caresses et échardes
La ville est bre-s' et violente, eh, toujours demeure sur mes gardes
Couteau ouvert dans la manche, la Lune le nez dans la blanche
Demain, je perce le coffre, demain, je brise la branche
Demain, je remonte à travers les couches du monde et les cercles du temps
Les deux mains serrées sur le levier, je retombe à pic sur les restes du temples
Ramasse grenades et FAMAS, l'incertitude est tenace
La guerre de tous contre tous, que des connards, des connasses
Dans les eaux troubles, je traîne tard entre fantômes et sirènes las
Pas de Brandon, pas de Brenda, veulent me blesser, je ne saigne pas
Changer le monde, je ne rêve pas, j'ai claqué la porte, elle se ferme mal
Putain, c'est minable et je reste là, loin de la chaleur des vestales
Loin de la clameur du spectacle, n'existe pas, demeure spectral
Ne compte sur aucun réceptacle, je suis un idiot respectable
La guerre de tous contre tous, que des connards, des connasses
Dans les eaux troubles, je traîne tard entre fantômes et sirènes las
Pas de Brandon, pas de Brenda, veulent me blesser, je ne saigne pas
Changer le monde, je ne rêve pas, j'ai claqué la porte, elle se ferme mal
Putain, c'est minable et je reste là, loin de la chaleur des vestales
Loin de la clameur du spectacle, n'existe pas, demeure spectral
Ne compte sur aucun réceptacle, je suis un idiot respectable
Besoin de rien pour bâtir, j'ai que d'l'amour pour batterie
Écris depuis l'temps de East, écris depuis l'champ de Higgs
Mettant dans l'air comme un cri, dans l'industrie comme un fist
Me multiplie comme un kyste, ils aiment le quartier comme un cli'
J'connais les petits passages du monde sous le monde comme René Daumal (eh)
Les grandes ivresses sur le mont quand la douleur est forte et que j'n'ai que trop mal (eh)
J'me mélange pas et je garde la foi dans des bouts de trauma' (eh)
J'me ménage pas et je garde la voix jusqu'au bout du coma (eh)
Ils font l'amour grâce à Tinder, leur vie est plate sans binder
Écris depuis l'temps de East, écris depuis l'champ de Higgs
Mettant dans l'air comme un cri, dans l'industrie comme un fist
Me multiplie comme un kyste, ils aiment le quartier comme un cli'
J'connais les petits passages du monde sous le monde comme René Daumal (eh)
Les grandes ivresses sur le mont quand la douleur est forte et que j'n'ai que trop mal (eh)
J'me mélange pas et je garde la foi dans des bouts de trauma' (eh)
J'me ménage pas et je garde la voix jusqu'au bout du coma (eh)
Ils font l'amour grâce à Tinder, leur vie est plate sans binder
Veulent un autre monde comme à Davos, disent "Incha'Allah" comme Adamo
Ils font l'amour grâce à Tinder, leur vie est plate sans binder
Veulent un autre monde comme à Davos, disent "Incha'Allah" comme Adamo
J'leur roule dessus sans le permis, quatre tonneaux sur le terre-plein
Des paradoxes comme Fermi, des théorèmes comme Fermat
J'en fais des tours qui ne marchent pas, j'mets mon nom et des hashtags
Parle aux oiseaux loin du cash sale, j'suis pas des vôtres, je n'm'en cache pas
Y a quelque chose de mort dans le regard des gens
Plus rien de Guy Debord, t'inquiète, c'est pas méchant, wesh
Tous dans l'caisson quantique, esclaves de métaux rares
Ils font l'amour grâce à Tinder, leur vie est plate sans binder
Veulent un autre monde comme à Davos, disent "Incha'Allah" comme Adamo
J'leur roule dessus sans le permis, quatre tonneaux sur le terre-plein
Des paradoxes comme Fermi, des théorèmes comme Fermat
J'en fais des tours qui ne marchent pas, j'mets mon nom et des hashtags
Parle aux oiseaux loin du cash sale, j'suis pas des vôtres, je n'm'en cache pas
Y a quelque chose de mort dans le regard des gens
Plus rien de Guy Debord, t'inquiète, c'est pas méchant, wesh
Tous dans l'caisson quantique, esclaves de métaux rares
J'ai le touché tantrique, reste loin de l'agora
Dans les eaux troubles, je traîne tard entre fantômes et sirènes las
Pas de Brandon, pas de Brenda, veulent me blesser, je ne saigne pas
Changer le monde, je ne rêve pas, j'ai claqué la porte, elle se ferme mal
Putain, c'est minable et je reste là, loin de la chaleur des vestales
Dans les eaux troubles, je traîne tard entre fantômes et sirènes las
Pas de Brandon, pas de Brenda, veulent me blesser, je ne saigne pas
Changer le monde, je ne rêve pas, j'ai claqué la porte, elle se ferme mal
Putain, c'est minable et je reste là, loin de la chaleur des vestales
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