Paroles de la chanson Tic Tac par Kybah Shade
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Paroles de la chanson Tic Tac par Kybah Shade
J'avoue, qu'parfois j'ai peur
J'ose pas vraiment avancer,
J'me dis qu'j'ai choisi un chemin
Qu'a tendance à reculer
Puis qu'tous ces rêves sont juste des envies d'gamins,
Qu'il faudrait que j'me réveille
Pour m'assurer un air de destin
Mais j'y peux rien, et j'le promets sur ma tête
J'aime la musique pour ce qu'elle donne
Ce soir j'ai l'cœur à la fête
J'ai envie d'lancer mes armes
Et d'jamais m'laisser abattre
J'ai envie d'vivre de mon âme
Et que ma vie je la grave.
J'ose pas vraiment avancer,
J'me dis qu'j'ai choisi un chemin
Qu'a tendance à reculer
Puis qu'tous ces rêves sont juste des envies d'gamins,
Qu'il faudrait que j'me réveille
Pour m'assurer un air de destin
Mais j'y peux rien, et j'le promets sur ma tête
J'aime la musique pour ce qu'elle donne
Ce soir j'ai l'cœur à la fête
J'ai envie d'lancer mes armes
Et d'jamais m'laisser abattre
J'ai envie d'vivre de mon âme
Et que ma vie je la grave.
T'sais si j'me lève c'est pour plus m'casser la gueule,
J'ai assez ramassé mes dents
à coups de crosses du passé,
Dépassé.
EN VRAC
J'ai l'estomac accroché aux éoliennes,
qui tant qu'le vent tourne ne voudront jamais que je vous revienne,
Je vois, la lumière brille elle m'appelle,
Je pars pour créer demain,
Je m'doit de croire en c'que je fais
Et d'me dire que j'fais du bien
Alors bonjour si tu écoutes,
Dis toi qu'c'est la première fois,
Et qu'la dernière sera celle
J'ai assez ramassé mes dents
à coups de crosses du passé,
Dépassé.
EN VRAC
J'ai l'estomac accroché aux éoliennes,
qui tant qu'le vent tourne ne voudront jamais que je vous revienne,
Je vois, la lumière brille elle m'appelle,
Je pars pour créer demain,
Je m'doit de croire en c'que je fais
Et d'me dire que j'fais du bien
Alors bonjour si tu écoutes,
Dis toi qu'c'est la première fois,
Et qu'la dernière sera celle
Où le temps m'ôtera la voix.
Ce n'est qu'une histoire au gré du vent
Et moi je me relève encore.
Donner du temps à mon présent,
Quitte à parfois perdre le nord,.
Enfin vivant enfin devant,
Si demain je retombe encore,
Je n'en reviendrais que plus grand,
Je jouerai jusqu'à ma mort.
J'ai 25 piges,
Certains parlent d'un quart de siècle,
J'ai pas envie d'trainer encore,
Soit je me lance soit j'arrête,
J'écris chaque étape de ma vie
à parfois m'en faire mal
Admettre que j'ai pas réussi
Ce n'est qu'une histoire au gré du vent
Et moi je me relève encore.
Donner du temps à mon présent,
Quitte à parfois perdre le nord,.
Enfin vivant enfin devant,
Si demain je retombe encore,
Je n'en reviendrais que plus grand,
Je jouerai jusqu'à ma mort.
J'ai 25 piges,
Certains parlent d'un quart de siècle,
J'ai pas envie d'trainer encore,
Soit je me lance soit j'arrête,
J'écris chaque étape de ma vie
à parfois m'en faire mal
Admettre que j'ai pas réussi
ça me perfore comme une balle.
Alors je tâcle mes craintes
Et je passe l'éponge
Puis je lève ma pinte
Je vous l'ouvre mon monde.
Assez joué, j'suis prêt, je pars,
Je m'en sens capable,
J'essaie un dernier coup d'envol,
J'essais d'atteindre les étoiles.
T'sais si j'me lève c'est pour plus m'casser la gueule,
J'ai assez ramassé mes dents
à coups de crosses du passé,
Dépassé.
EN VRAC
Alors je tâcle mes craintes
Et je passe l'éponge
Puis je lève ma pinte
Je vous l'ouvre mon monde.
Assez joué, j'suis prêt, je pars,
Je m'en sens capable,
J'essaie un dernier coup d'envol,
J'essais d'atteindre les étoiles.
T'sais si j'me lève c'est pour plus m'casser la gueule,
J'ai assez ramassé mes dents
à coups de crosses du passé,
Dépassé.
EN VRAC
J'ai l'estomac accroché aux éoliennes,
qui tant qu'le vent tourne ne voudront jamais que je vous revienne,
Je vois, la lumière brille elle m'appelle,
Je pars pour créer demain,
Je m'doit de croire en c'que je fais
Et d'me dire que j'le fais bien
Finie la honte d'être quelqu'un
Je suis altruiste et aimé,
Finie la peine de n'être rien,
Je suis artiste et ça m'plait.
Ce n'est qu'une histoire au gré du vent
Et moi je me relève encore.
Donner du temps à mon présent,
Quitte à parfois perdre le nord,
Enfin vivant enfin devant,
Si demain je retombe encore,
qui tant qu'le vent tourne ne voudront jamais que je vous revienne,
Je vois, la lumière brille elle m'appelle,
Je pars pour créer demain,
Je m'doit de croire en c'que je fais
Et d'me dire que j'le fais bien
Finie la honte d'être quelqu'un
Je suis altruiste et aimé,
Finie la peine de n'être rien,
Je suis artiste et ça m'plait.
Ce n'est qu'une histoire au gré du vent
Et moi je me relève encore.
Donner du temps à mon présent,
Quitte à parfois perdre le nord,
Enfin vivant enfin devant,
Si demain je retombe encore,
Je n'en reviendrais que plus grand,
Ce n'est qu'une histoire au gré du vent
Et moi je me relève encore.
Donner du temps à mon présent,
Quitte à parfois perdre le nord,.
Enfin vivant enfin devant,
Si demain je retombe encore,
Je n'en reviendrais que plus grand,
Je jouerai jusqu'à ma mort.
Ce n'est qu'une histoire au gré du vent
Et moi je me relève encore.
Donner du temps à mon présent,
Quitte à parfois perdre le nord,.
Enfin vivant enfin devant,
Si demain je retombe encore,
Je n'en reviendrais que plus grand,
Je jouerai jusqu'à ma mort.
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