Paroles de la chanson Delphine par Jean-Louis Aubert
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Paroles de la chanson Delphine par Jean-Louis Aubert
J’aimais ce moment de pudeur
Delphine, ou tu ouvrais ton cœur,
Cette pudeur de sentiments
( C’était l’extase tout simplement).
Nous pourrirons dans l’herbe douce,
Nous nous souviendrons de nos jours
Nos pauvres organes dans la mousse
Revivront ces moments toujours.
Je le dis, et je n’y crois pas
Car je connais les asticots
Et les vers blancs, Calliphora,
Ils ne nous laisseront que les os.
Je le dis, et je n’y crois pas
Delphine, ou tu ouvrais ton cœur,
Cette pudeur de sentiments
( C’était l’extase tout simplement).
Nous pourrirons dans l’herbe douce,
Nous nous souviendrons de nos jours
Nos pauvres organes dans la mousse
Revivront ces moments toujours.
Je le dis, et je n’y crois pas
Car je connais les asticots
Et les vers blancs, Calliphora,
Ils ne nous laisseront que les os.
Je le dis, et je n’y crois pas
Mais j’aimerais que ce soit vrai
Ce monde où les gens revivraient
( chanson d’amour, et caetera)
Je le dis, et je n’y crois pas
Mais j’aimerais que ce soit vrai
Ce monde où les gens revivraient
( chanson d’amour, et caetera)
Ce monde où les gens revivraient
( chanson d’amour, et caetera)
Je le dis, et je n’y crois pas
Mais j’aimerais que ce soit vrai
Ce monde où les gens revivraient
( chanson d’amour, et caetera)
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