Paroles de la chanson J'accuse par Empati

Auteurs: Olivier Geai

Compositeurs: Jean-Sully Ledermann

Editeurs: Lalouline Editions

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Paroles de la chanson J'accuse par Empati

J’accuse, le gouvernement de ne pas écouter la population, de la concevoir comme de simple et vulgaires pions.
J’accuse, ceux qui nous dirigent de vouloir rester tout en haut, pour jouir du pouvoir, comme on fume un pétard.
J’accuse, ceux qui nous parlent de crise, de ne pas se rendre compte quen bas, des milliers de gens crèvent de froid.
J’accuse, le front national de perdre complètement les pédales, de precher la haine, pour courtiser tout ceux qui peinent.
J’accuse.....
J’accuse, ceux qui se prennent pour dieu et en oublient de rester pieu, de vouloir se prendre pour des cadors, en se couvrant d’or.
Mais n’oubliez pas que dieu est bon, et qu’il ne s’occupera pas plus de ceux qui ont du pognon à foison.
J’accuse, ceux qui prétendent aider, mais qui sont pret à tout pour ajouter un sou dans le porte-monnaie.
J’accuse, le durcissement des loies, qui fait de notre france, un pays abimé par une constitution qui à la population ne porte plus d’attention.
J’accuse...
J’accuse, les grands patrons de licencier, pour avoir toujours plus à gagner.
D’avoir pour religion le denier, et de s’envoler avec leur parachute doré.
J’accuse, l’état d’oublier une partie du peuple, ceux qui galèrent pour vivre bien, et s’acheter des meubles, ceux qui comptent dès le premier du mois, pour savoir comment s’occuper de leur enfants avec ce putain de manque d’argent.
J’accuse, notre président d’etre arrivé là par jouissance du pouvoir, d’en avoir oublié que l’humilité est une fierté.
J’accuse, le ministre de l’immigration, d’ignorer que ce sont d’etre humains que l’on parle, pas de simples morpions.
J’accuse, mon pays, celui que j’aime et que je chéri, de ne pas mettre chacun sur le meme pied d’égalité, d’en oublié qu’ici, chacun à le droit d’etre toléré.
J’accuse, la société de consommation, de semer le trouble et la dépression, de precher la performance, et de semer le mal à outrance.
Ne vous inquiétez pas, je ne me prend pas pour Zola, ne vous y trompez pas, ces mots enflammés ne sont pas du poison qui poussent à la faute d’intention.
C’est juste un cri du coeur, et de cela, il ne faut pas avoir peur.
J’accuse...

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