Paroles de la chanson #LRS (La rue scolarise) par Dika
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Paroles de la chanson #LRS (La rue scolarise) par Dika
Galérien on a connu la crise, les fins de mois affamés
Il y avait les schmitt derrières on courait plus vite que Leroy sa mère
T’es dans la merde tu vois les vrais visages, ceux qui deviennent bizarre
Tu fais le voyou avec untel, ils vont revenir à dix heures
Et c’est le drame quand les daronnes pleurent car leur fils ils partent
Ma haine est belle, j’aime pas les balances car ces fils débarquent
Huit heures du mat’, j’ai les idées claires, c’est le premier pétard
Je pense au poto, il a pris vingt ans mais je le citerai pas
Il y avait les schmitt derrières on courait plus vite que Leroy sa mère
T’es dans la merde tu vois les vrais visages, ceux qui deviennent bizarre
Tu fais le voyou avec untel, ils vont revenir à dix heures
Et c’est le drame quand les daronnes pleurent car leur fils ils partent
Ma haine est belle, j’aime pas les balances car ces fils débarquent
Huit heures du mat’, j’ai les idées claires, c’est le premier pétard
Je pense au poto, il a pris vingt ans mais je le citerai pas
Deux, trois millions pour une vie paisible et tu me verras plus
Je redeviens moi, oubliez mon blase, ça y est je rappe plus
On signe des contrats, pas besoin de vos contacts
Treizième à l’usine, laissez-moi l’indé en contrat
C’est vrai j’ai vrillé trop tôt, à treize ans sur la moto
À seize sous la cagoule, dans ma tête c’est Kaboul
Au quartier sous les capuches, à douze on se fait une nuit blanche
Sort la beuh je fais un cactus, j’ai trois plans pour les vidanges
Jeune démon veut la vie d’ange, encore rhapta du samedi
Il ouvre le four le dimanche, l’appât du gain est immense
Je redeviens moi, oubliez mon blase, ça y est je rappe plus
On signe des contrats, pas besoin de vos contacts
Treizième à l’usine, laissez-moi l’indé en contrat
C’est vrai j’ai vrillé trop tôt, à treize ans sur la moto
À seize sous la cagoule, dans ma tête c’est Kaboul
Au quartier sous les capuches, à douze on se fait une nuit blanche
Sort la beuh je fais un cactus, j’ai trois plans pour les vidanges
Jeune démon veut la vie d’ange, encore rhapta du samedi
Il ouvre le four le dimanche, l’appât du gain est immense
Tu te rappelleras qu’on est des vrais, qu’on a jamais donné l’autre
Et quand on brandit les armes c’est pour protéger les notre
Et au quartier souvent ça pète, il y a tout le monde qui veut du biff
Et il y a pas de poste, donc pour bibi ça frappe des têtes
Maitrise tes actes et tes paroles, le poids des mots t’écrase le dos
Abimé par le temps, je reste le même je fais pas le gros
Du lundi au lundi, sur le terrain comme au bureau
Comme à Toulouse, comme à Lyon, comme aux Mureaux
Qui sera filmé quand je serai fini, les yeux rouges sous les ???
Faut le cerveau à Bino avec les grosses couilles à Tony
Mauvais élève au fond de la classe, pour pas longtemps
Je vais prendre tes lovés et ta place, dans pas longtemps
Je vais te prouver de quoi je suis capable, et pour longtemps
J’ai mon fiston merci papa, ils vont m’entendre
Mauvais élève au fond de la classe
Je vais prendre tes lovés et ta place
Intégré dans la vie
Mauvais élève au fond de la classe, pour pas longtemps
Je vais prendre tes lovés et ta place, dans pas longtemps
Je vais te prouver de quoi je suis capable, et pour longtemps
J’ai mon fiston merci papa, ils vont m’entendre
Mauvais élève au fond de la classe
Je vais prendre tes lovés et ta place
Intégré dans la vie
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