Paroles de la chanson Tu te souviens par Cordier Officiel

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Paroles de la chanson Tu te souviens par Cordier Officiel

Mon papa m’a élevé, ne m’a pas mit au monde
Géniteur, que la baise, L’abandon est immonde
À la base on m’forçait, j’voulais pas l’rencontrer
Fils de p*tain, petit j’t’ai vu qu’une fois rentrer
Ne regrette surtout pas, ne me pointe pas du doigt
Tes doigts tu les mords, j’n’ai pas d’amour pour toi
Ni de haine, ni de peine, ni de regret
Rien que j’ken le game, pour un retrait
Le padré devant tout, j’me rappel de sa voix
Même avant d’être au ciel, il était plus haut qu’toi
On n’sait jamais connu, mon cœur n’est pas le tiens
De ta voix, de ta gueule, je me souviens de rien
Un bonhomme que je suis devenu, et adultes
Grâce à qui tu sais bien, mais le bien tu l’insultes
Tu sais de qui je parle. Pourquoi tu l’ignores ?
Même étant calme, toujours autant le mort
Mon pire ennemi m’a fait naître, à du-per
Salope, c’est toi qui m’espionner hier
Quoi ? J’suis grossier ? Ah ouais ?
J’me rappel pas de t’avoir respecté
J’aimerai juste la voir ta te-tê
Qui n’assumera pas devant ses invités
Sa nouvelle famille, ses parents sont pétés
À ta mère j’lui piqué des ne-thu
J’l’a détesté...

Décomposé, comme ma mère elle était
Il frappe à la porte pour revenir, c’est raté
Et râpé pour la bonne raison d’te niker
T’as piqué trop de tass’, tu l’oublies, c’est nickel ! (X2)

REFRAIN :

Tu t’souviens ?
Tu t’souviens ?
Tu l’a trop faite souffrir
Quelqu’un d’autre l’a faite sourire

Tu t’souviens ?
Tu t’souviens ?
Tu voulais m’voir grandir
Elle voulait te voir partir

Si j’te ressemblerais, j’serai un fils de p*te
Si je suivais ton chemin, j’aurai plus aucun but
J’en pété des câbles, j’en ai bagarré pleins
12 ans à cette époque, mais le p’tit savait rien
Savait pas d’où venait l’origine qu’il portait
Qu’importe même le fait qu’j’me suis jamais plié
Trié, pas forcément, car t’as pas existé
T’es qu’un intrus qu’on parle sous le charme de la vulgarité
M’apprends pas la vie, toi t’es qu’un marrant
J’mourrais bonhomme, car j’suis fils de marin
Malin, j’avoue. Bitch recommencera
Pas d’honneur pour cet homme, qu’on lui brise les reins
J’ai grandis dans la rue, enculé d’fils de bourge
Semelles Kappa trouées, l’orteil le sortait du trou
Papa navigué, nourrissait 5 bouches
Maman nous élevée, m’habillait grâce aux bourses
J’volé dans les magasins, même ma propre famille
Les potos, les cousins, 12 ans j’voulais leur vie
Trop d’ennuis, mais tant pis
J’avais pas c’qu’ils avaient
J’comprennais trop de chose qui n’avait pas lieu d’être
Gamin trop perturbé ou trop intelligent
J’ai dû même voir un psy par ta faute
Mais je change le comportement que j’avais devant ces gens
J’ai clenché, j’ai ouvert, j’ai cerné un homme chiant

J’avais rien à faire là, j’devais parler de l’autre
J’attend qu’un seul discours, de ma mère pas du vôtre
... Sombre ambiance dans la salle
J’lui dit droit dans les yeux qu’ma vie était du sale. (X2)

Tu t’souviens ?
Tu t’souviens ?
Tu l’a trop faite souffrir
Quelqu’un d’autre l’a faite sourire

Tu t’souviens ?
Tu t’souviens ?
Tu voulais m’voir grandir
Elle voulait te voir partir

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