Paroles de la chanson Tous Les Jours par Checler
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Paroles de la chanson Tous Les Jours par Checler
Faut jamais s'comparer donc tu l'fais tous les jours
Faut jamais laisser couler la pluie sur tes joues
Faut s'battre jusqu'au bout...
Ex-Coeur de braises étouffées au fond d’un cendrier
Choeur de rêves avortés sonne comme un requiem
Quand assommante ritournelle t’enfonce dans l’sommier
T'répète : Frère, t’es pas l’génie qu’ont fantasmé tes parents qui t’aiment
Et ça t’rendait pas service, mais bon t’es pas rancunier
Si maman t’a refilé ses peurs et ses angoisses irrationnelles
Si Papa t’a refilé sa fierté un poil trop démesuré
Faut jamais laisser couler la pluie sur tes joues
Faut s'battre jusqu'au bout...
Ex-Coeur de braises étouffées au fond d’un cendrier
Choeur de rêves avortés sonne comme un requiem
Quand assommante ritournelle t’enfonce dans l’sommier
T'répète : Frère, t’es pas l’génie qu’ont fantasmé tes parents qui t’aiment
Et ça t’rendait pas service, mais bon t’es pas rancunier
Si maman t’a refilé ses peurs et ses angoisses irrationnelles
Si Papa t’a refilé sa fierté un poil trop démesuré
La White Widow et la tise, personne te les as inoculé
Tu cherches des réponses, comme si t’avais déjà vraiment posé les questions
Tu t’sens incompris, comme si t’avais cherché à t’faire comprendre
Et tu t’sens seul, Tu t’sens seul
Mais même auprès ton meilleur ami tu t’censures
Tu veux voir personne, tu veux pas qu’ils disent que t’as l’air triste
15 messages non lu, 15 potes que t’as pas calculé,
Tu fuis la réalité, comme celle qui t’appelle bébé dès deuxième date
On finit sa vie alité, donc autant s’y habituer
Tu déteste la viralité
Tu cherches des réponses, comme si t’avais déjà vraiment posé les questions
Tu t’sens incompris, comme si t’avais cherché à t’faire comprendre
Et tu t’sens seul, Tu t’sens seul
Mais même auprès ton meilleur ami tu t’censures
Tu veux voir personne, tu veux pas qu’ils disent que t’as l’air triste
15 messages non lu, 15 potes que t’as pas calculé,
Tu fuis la réalité, comme celle qui t’appelle bébé dès deuxième date
On finit sa vie alité, donc autant s’y habituer
Tu déteste la viralité
Ces vidéastes sans plein d’vitalité
Des poissons dans un océan d’banalités
C’est ce que tu dis, parce qu’en vrai
T’adorerais leur ressembler
T’y sentir intégré, plutôt qu’haïr la société
T’as toujours été bien trop pessimiste
T’as jamais trouvé l’remède au virus de ta sale mentalité
Qui t’pousse à t’battre seulement quand tu captes que t’es pas l’meilleur
Ta passion, empoisonnée par son complexe d’infériorité
Faut jamais s’comparer donc tu l’fais tous les jours
Faut jamais laisser couler la pluie sur tes joues
Faut s’battre jusqu’au bout
Des poissons dans un océan d’banalités
C’est ce que tu dis, parce qu’en vrai
T’adorerais leur ressembler
T’y sentir intégré, plutôt qu’haïr la société
T’as toujours été bien trop pessimiste
T’as jamais trouvé l’remède au virus de ta sale mentalité
Qui t’pousse à t’battre seulement quand tu captes que t’es pas l’meilleur
Ta passion, empoisonnée par son complexe d’infériorité
Faut jamais s’comparer donc tu l’fais tous les jours
Faut jamais laisser couler la pluie sur tes joues
Faut s’battre jusqu’au bout
La merde jusqu’au cou redescendra
Faut jamais s’comparer donc tu l’fais tous les jours
Faut jamais laisser couler la pluie sur tes joues
Faut s’battre jusqu’au bout
La merde jusqu’au cou redescendra
T’as vraiment rien d’original, t’as peur de vieillir, t’as peur de mourir
T’as peur d’être pas original
T’as peur d’être un prof frustré toute ta life, t’as peur que les gens t’admirent pas
T’as peur que ta grand mère trépasse
T’as peur d’avoir une vie banale
Y en a qu’en font une force, pendant qu’tu complais dans ta latence
Déjà léthargique, t’attends que le succès s’pointe pour prendre des vacances
Faut jamais s’comparer donc tu l’fais tous les jours
Faut jamais laisser couler la pluie sur tes joues
Faut s’battre jusqu’au bout
La merde jusqu’au cou redescendra
T’as vraiment rien d’original, t’as peur de vieillir, t’as peur de mourir
T’as peur d’être pas original
T’as peur d’être un prof frustré toute ta life, t’as peur que les gens t’admirent pas
T’as peur que ta grand mère trépasse
T’as peur d’avoir une vie banale
Y en a qu’en font une force, pendant qu’tu complais dans ta latence
Déjà léthargique, t’attends que le succès s’pointe pour prendre des vacances
T’attends qu’on label t’annonce que bientôt Fun Radio fera d’toi l’artiste du moment
Mais ils ont d'ja signé celui qui t’remplacera
Reste plus que ta meuf pour t'sortir de ta torpeur
Mais elle est tout aussi fragile que t’es malade
Elle fait que te soigner comme elle peut
Elle aussi elle s’raconte des histoires pour aller mieux
En plus elle doit encaisser tes états-d’âmes
En vrai, tu la mérites pas
Elle essaie de construire un truc stable, pendant qu’tu t’détruis
Tu lui laisseras rien d’autre que des désillusions
Quelques souvenirs impérissables
Et tu recherches à tout prix les vertiges du début
Mais ils ont d'ja signé celui qui t’remplacera
Reste plus que ta meuf pour t'sortir de ta torpeur
Mais elle est tout aussi fragile que t’es malade
Elle fait que te soigner comme elle peut
Elle aussi elle s’raconte des histoires pour aller mieux
En plus elle doit encaisser tes états-d’âmes
En vrai, tu la mérites pas
Elle essaie de construire un truc stable, pendant qu’tu t’détruis
Tu lui laisseras rien d’autre que des désillusions
Quelques souvenirs impérissables
Et tu recherches à tout prix les vertiges du début
Qu’on retrouve qu’à l’atterrissage
Un jour elle aura mal, ça sera d'ta faute
Un jour t’auras l’cancer, et ça sera ta faute
Un jour t’abandonneras tes rêves, et ça sera ta faute
T’avais c’qu’il faut pour réussir
T’auras juste pas assez taffé
Un jour t’auras l’courage, de plus t’cacher derrière un masque
Dans tes sons les plus tristes derrière des personnages
Quand t’assumes pas d’être mal
Parce que t’as une famille un salaire et un toit
T’écris c’texte à la deuxième personne
Comme si c’était pas toi
Faut jamais s’comparer donc tu l’fais tous les jours
Un jour elle aura mal, ça sera d'ta faute
Un jour t’auras l’cancer, et ça sera ta faute
Un jour t’abandonneras tes rêves, et ça sera ta faute
T’avais c’qu’il faut pour réussir
T’auras juste pas assez taffé
Un jour t’auras l’courage, de plus t’cacher derrière un masque
Dans tes sons les plus tristes derrière des personnages
Quand t’assumes pas d’être mal
Parce que t’as une famille un salaire et un toit
T’écris c’texte à la deuxième personne
Comme si c’était pas toi
Faut jamais s’comparer donc tu l’fais tous les jours
Faut jamais laisser couler la pluie sur tes joues
Faut s’battre jusqu’au bout
La merde jusqu’au cou redescendra
Faut jamais s’comparer donc tu l’fais tous les jours
Faut jamais laisser couler la pluie sur tes joues
Faut s’battre jusqu’au bout
La merde jusqu’au cou redescendra
Faut s’battre jusqu’au bout
La merde jusqu’au cou redescendra
Faut jamais s’comparer donc tu l’fais tous les jours
Faut jamais laisser couler la pluie sur tes joues
Faut s’battre jusqu’au bout
La merde jusqu’au cou redescendra
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