Paroles de la chanson J'ulysse par Bernard Joyet
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Paroles de la chanson J'ulysse par Bernard Joyet
Angoissé oppressé cette fois j’entre en lice
Tout tremblant adossé au bord du précipice
Avant de me lancer j’attends l’instant propice
La force inspiratrice
D’un destin tout tracé
Un geste déplacé le cascadeur dévisse
Le voilà fracassé au pied de l’édifice
Il doit se redresser reprendre l’exercice
Relire la notice
Plutôt que renoncer
On ne m’a pas poussé vers ce noble supplice
A ces travaux forcés volontaire d’office
Je ne suis pourchassé que par votre peau lisse
Tout tremblant adossé au bord du précipice
Avant de me lancer j’attends l’instant propice
La force inspiratrice
D’un destin tout tracé
Un geste déplacé le cascadeur dévisse
Le voilà fracassé au pied de l’édifice
Il doit se redresser reprendre l’exercice
Relire la notice
Plutôt que renoncer
On ne m’a pas poussé vers ce noble supplice
A ces travaux forcés volontaire d’office
Je ne suis pourchassé que par votre peau lisse
Et son parfum mélisse
Aux saveurs épicées
Oh la belle odyssée hallucinante Alice
Dans vos voiles plissées je balance à la drisse
Espérant me hisser moi l’innocent jocrisse
C’est que je suis novice
Si je suis trop pressé
Mais trop ou pas assez tendre persécutrice
Il faut bien commencer passer par les prémices
Laissez moi délacer de mes mains migratrices
Ces rubans en hélice
Si savamment tressés
Moi qui n’ai caressé que l’espoir d’une esquisse
Qui n’ai désamorcé que des bombes factices
Aux saveurs épicées
Oh la belle odyssée hallucinante Alice
Dans vos voiles plissées je balance à la drisse
Espérant me hisser moi l’innocent jocrisse
C’est que je suis novice
Si je suis trop pressé
Mais trop ou pas assez tendre persécutrice
Il faut bien commencer passer par les prémices
Laissez moi délacer de mes mains migratrices
Ces rubans en hélice
Si savamment tressés
Moi qui n’ai caressé que l’espoir d’une esquisse
Qui n’ai désamorcé que des bombes factices
Moi qui n’ai terrassé que des monstres complices
Je suis nu sans malice
Et décontenancé
Vous pourriez m’évincer appeler la milice
Mais sans vous offenser permettez que j’immisce
Mes doigts mal exercés jusqu’au ciel de vos cuisses
Que je boive au calice
Cette sève encensée
Laissez moi me blesser au zénith au solstice
Du soleil éclipsé sous sa douce pelisse
Laissez moi me glisser dans ces tièdes abysses
Et mourir de délice
Et puis recommencer
Je suis nu sans malice
Et décontenancé
Vous pourriez m’évincer appeler la milice
Mais sans vous offenser permettez que j’immisce
Mes doigts mal exercés jusqu’au ciel de vos cuisses
Que je boive au calice
Cette sève encensée
Laissez moi me blesser au zénith au solstice
Du soleil éclipsé sous sa douce pelisse
Laissez moi me glisser dans ces tièdes abysses
Et mourir de délice
Et puis recommencer
J’ai appris au lycée Heureux qui comme Ulysse
Je suis récompensé par ma belle lectrice
Divine panacée pour la fièvre et le vice
Savante incitatrice
Aux lubriques pensées
J’ai appris au lycée
Heureux qui comme Ulysse
Je suis récompensé
Par ma belle lectrice
Car ainsi que Jason
J’ai conquis la toison
Car ainsi que Jason
J’ai conquis la toison
Je suis récompensé par ma belle lectrice
Divine panacée pour la fièvre et le vice
Savante incitatrice
Aux lubriques pensées
J’ai appris au lycée
Heureux qui comme Ulysse
Je suis récompensé
Par ma belle lectrice
Car ainsi que Jason
J’ai conquis la toison
Car ainsi que Jason
J’ai conquis la toison
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