Paroles de la chanson Berline par Anas (Benturquia)
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Paroles de la chanson Berline par Anas (Benturquia)
Je voulais rester dans l’ombre, mais la lumière m’appelle
J’ai augmenté mes prix, c’est partout pareil, donc j’évite de trop parler
Je suis perché de la veille, mais j’ai toujours full inspi
Ma chérie t’es pas sainte non, connue dans tout Paris
Avec elle faut parler en Gucci, Dior ou Fendi
Tous les jours je prends des risques, je prends de l’âge je m’embellis
Je quitte le Nord, je suis à Beriz, comme Végéta je suis impoli
Tous les jours je prends des risques, je prends le large, mon neuf milli
J’ai augmenté mes prix, c’est partout pareil, donc j’évite de trop parler
Je suis perché de la veille, mais j’ai toujours full inspi
Ma chérie t’es pas sainte non, connue dans tout Paris
Avec elle faut parler en Gucci, Dior ou Fendi
Tous les jours je prends des risques, je prends de l’âge je m’embellis
Je quitte le Nord, je suis à Beriz, comme Végéta je suis impoli
Tous les jours je prends des risques, je prends le large, mon neuf milli
J’ai des sommes dans la valise, quand je suis qué-cra j’ai la facile
Je suis dans le terrain ici, je suis dans le bendo,
Je vois les banalisés, dans le rétro
Je lui donne pas l’heure non, je suis pas les autres
Je tartine comme Freezer, dans le vaisseau
J’ai le gamos qui crie
Je suis dans ma berline
J’arrive dans ma suite
Elle veut pas dormir
On court vers le biff, ennemis je compte par dix
Je vais viser dans le mille, fumer ma blueberry
Dans son jean je vois ses vices, je n’aurai aucune surprise
Je suis dans le terrain ici, je suis dans le bendo,
Je vois les banalisés, dans le rétro
Je lui donne pas l’heure non, je suis pas les autres
Je tartine comme Freezer, dans le vaisseau
J’ai le gamos qui crie
Je suis dans ma berline
J’arrive dans ma suite
Elle veut pas dormir
On court vers le biff, ennemis je compte par dix
Je vais viser dans le mille, fumer ma blueberry
Dans son jean je vois ses vices, je n’aurai aucune surprise
Peu friante de gourmandises elle veut les parts de mon biz
Tous les jours je prends des risques, je prends de l’âge je m’embellis
Je quitte le Nord, je suis à Beriz, comme Végéta je suis impoli
Tous les jours je prends des risques, je prends le large, mon neuf milli
J’ai des sommes dans la valise, quand je suis qué-cra j’ai la facile
Je suis dans le terrain ici, je suis dans le bendo,
Je vois les banalisés, dans le rétro
Je lui donne pas l’heure non, je suis pas les autres
Je tartine comme Freezer, dans le vaisseau
Tous les jours je prends des risques, je prends de l’âge je m’embellis
Je quitte le Nord, je suis à Beriz, comme Végéta je suis impoli
Tous les jours je prends des risques, je prends le large, mon neuf milli
J’ai des sommes dans la valise, quand je suis qué-cra j’ai la facile
Je suis dans le terrain ici, je suis dans le bendo,
Je vois les banalisés, dans le rétro
Je lui donne pas l’heure non, je suis pas les autres
Je tartine comme Freezer, dans le vaisseau
J’ai le gamos qui crie
Je suis dans ma berline
J’arrive dans ma suite
Elle veut pas dormir
Elle veut pas dormir, elle veut faire la folle, non, non, non
Je voudrais lui nuire mais je croie que je la love, ouais, ouais, ouais
Elle veut pas dormir, elle veut faire la folle, non, non, non
Je voudrais lui nuire mais je croie que je la love, ouais, ouais, ouais
J’ai le gamos qui crie
Je suis dans ma berline
J’arrive dans ma suite
Elle veut pas dormir
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