Paroles de la chanson Renaissance par Merzhin
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Paroles de la chanson Renaissance par Merzhin
Au commencement
Je n’ai pas pu suivre, rebondir en mouvement
En une seconde embrayer, repartir en cadence
S’engager en errance
Y aller simplement
Un énorme cruel manque de pointe d’assurance
Cette peur d’exploser en plein vol est immense
Une tour muraille
À gravir en silence
Se mettre en éveil, ignorer la souffrance
Dans les lumières d’étincelles, revenir en puissance
Se rêver éternel, écraser l’ignorance
Dans une aurore irréelle, aux origines, à l’essence
Je n’ai pas pu suivre, rebondir en mouvement
En une seconde embrayer, repartir en cadence
S’engager en errance
Y aller simplement
Un énorme cruel manque de pointe d’assurance
Cette peur d’exploser en plein vol est immense
Une tour muraille
À gravir en silence
Se mettre en éveil, ignorer la souffrance
Dans les lumières d’étincelles, revenir en puissance
Se rêver éternel, écraser l’ignorance
Dans une aurore irréelle, aux origines, à l’essence
À nouveau recouvrer l’apparence, retrouver le ciment
Rentrer dans le rang, un seigneur en naissance
Retourner l’évidence
Se penser dignement
Je n’ai pas pu fuir, m’effacer constamment
Je regarde cet avenir comme une flamme qui danse
Essentielle délivrance
Au parfum du vivant
Je n’ai pas pu suivre, rebondir en mouvement
En une seconde embrayer, repartir en cadence
S’engager en errance
Y aller simplement
Se mettre en éveil, ignorer la souffrance
Dans les lumières d’étincelles, revenir en puissance
Se rêver éternel, écraser l’ignorance
Dans une aurore irréelle, aux origines, à l’essence
Dans une aurore irréelle, aux origines, à l’essence
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